projet

L’Agence Nationale de Développement de l’Investissement

 

L’ANDI a pour principale mission le développement et le suivi des investissements nationaux et étrangers. Elle vise à faciliter l’accomplissement des formalités administratives relatives au lancement des projets de création d’entreprise grâce à un guichet unique décentralisé, au niveau de chaque wilaya et regroupant les représentants locaux de l’agence et les organismes et administrations concernés par l’investissement.
L’ANDI est également habilitée à octroyer les exonérations fiscales et parafiscales prévues par l’ordonnance 01-03 du 20 août 2001.

Les autres missions de l’ANDI sont :

  • La définition des actions visant à mettre en valeur les avantages comparatifs et concurrentiels de l’économie algérienne ;
  • La proposition au gouvernement de toutes mesures légales et économiques utiles pour améliorer l’investissement et réduire les formalités d’engagement des projets ;
  • La promotion et l’administration des divers mécanismes d’incitations à l’investissement.
  • La gestion et le développement du réseau des guichets uniques régionaux chargés de faciliter pour les entreprises l’accès aux programmes d’incitation en fournissant une gamme de services de soutien en un lieu unique, par exemple pour les impôts, les douanes, les procédures de création et d’inscription d’entreprises au registre du commerce.
  • La promotion de l’Algérie comme destination pour les investissements directs étrangers à travers l’organisation de séminaires et de réunions, la gestion de bases de données de projets et de fournisseurs, la production de matériels de promotion.

voir: http://www.andi.dz

 

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hamid fassouli

la SGP Indjab signe un accord de création de sociétés mixtes

La Société de gestion des participations (SGP) Indjab a signé, hier à Alger, un protocole d’accord de création de sociétés mixtes algéro-espagnoles avec deux sociétés espagnoles, à savoir Ortiz et Assagnia.
Selon Hafid Fassouli, président du directoire de la SGP Indjab, «cet accord s’inscrit dans le cadre de la réalisation du principal objectif, qui est celui d’améliorer les conditions de réalisation de logements». Ce partenariat se traduira par un «transfert de technologies et de savoir-faire», par la formation du personnel algérien et par la qualité de réalisation des logements, affirme encore M. Fassouli.

Plus globalement, elles sont quatorze entreprises espagnoles à avoir exprimé officiellement leur intention de signer des accords de partenariat avec des entreprises de construction algériennes, «selon le dispositif algérien imposant la règle des 51/49%», a précisé le président d’Indjab. Pour l’heure, ce sont les deux premières sociétés qui ont entamé la procédure d’officialisation, en attendant que les autres suivent l’exemple «après qu’elles aient terminé l’étude de tous les aspects techniques». M. Fassouli ne manquera pas de rappeler que la SGP Indjab a déjà signé un accord pour la création de sociétés mixtes avec deux entreprises portugaises, suite au protocole d’entente paraphé par le secrétaire d’Etat portugais et le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, Abdelmadjid Tebboune, portant sur l’installation en Algérie de sociétés portugaises dans le domaine de la construction de logements et le transfert de leur savoir-faire à travers des entreprises mixtes.

«Actuellement, nous sommes en train de concrétiser le même projet avec des entreprises américaines et un procès-verbal sera signé incessamment pour la réalisation de logements avec une ou deux sociétés américaines», a souligné encore M. Fassouli. Et de rappeler que le nombre de logements à réaliser retenu est de 50 000 pour chaque partenaire. Quant à la forme de partenariat, le responsable d’Indjab a précisé que «les société mixtes auront un capital numéraire avec un apport en nature à la charge du partenaire qui devra ramener avec lui une usine de construction pour l’installer en Algérie».

 

Source : El Watan

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L’ANDI a recensé 91 projets en 8 mois à Tiaret

Du 1er janvier au 12 septembre de l’année en cours, 91 projets pour 600 emplois prévus sont enregistrés au niveau de l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI), fait savoir son directeur M. Ahmed Djebarra. L’agriculture, le BTPH, l’industrie, le tourisme, la santé et le transport sont les secteurs concernés. Le coût estimé de ces projets est de l’ordre de 2,2 milliards de dinars. Quatre projets étant un reliquat des investissements déclarés pour la wilaya de Tissemsilt. Cette wilaya voisine vient d’ailleurs d’ouvrir son guichet. Avec 18 projets déclarés sur les 44 enregistrés du 1er janvier à la première décade du mois de septembre 2012, soit 41% du nombre total, le secteur du BTPH représente 51% du montant global des intentions d’investissement. Le secteur du transport, quant à lui, continue à accaparer une part importante des déclarations de projets, soit une vingtaine. Néanmoins, en valeur, ce secteur ne représente que 24% de l’investissement total de la période. Trois projets seulement sont déclarés pour le secteur de l’industrie représentant un peu plus de 20% du volume global des investissements déclarés pour un montant global de l’ordre de 2,2 milliards de DA. Enfin, le secteur de l’agriculture et du tourisme, dont le potentiel de valorisation est pourtant confirmé, sont marginaux avec 2 projets uniquement, représentant ensemble moins de 02% du montant global précité. Au cumul, les emplois attendus de ces intentions d’investissements sont estimés à 594 postes. A noter que le guichet unique de l’ANDI de Tiaret a enregistré, pour l’année 2011, 74 déclarations d’investissement réparties à travers 14 communes pour un montant global de 5, 3 milliards de DA avec un impact emploi escompté de 1170 postes de travail. Comme il y a lieu de souligner que l’ANDI est opérationnelle à Tiaret depuis 2006 et que la quasi-totalité des acteurs institutionnels impliqués dans l’acte d’investir y est représentée (Domaines, Impôts, CNRC, APC, ANEM, Douanes, CNAS, CASNOS, Environnement, Urbanisme). Selon les candidats potentiels à l’investissement, «le foncier industriel et l’accès au financement continuent de se présenter comme des facteurs contrariant l’acte d’investir», malgré les mesures hardies prises en février 2011, traduites dans la loi de finances complémentaire de la même année, dont l’effectivité, notamment en matière de mise en oeuvre du système des concessions des terrains d’assiettes dédiés aux projets soumis aux pouvoirs publics, est très problématique.

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300.000 micro-entreprises créées dans le cadre de l’Ansej

Quelque 300.000 micro-entreprises ont été créées depuis le lancement de la stratégie d’emploi de jeunes (1998), dont près de 32.000 activent dans le domaine de l’artisanat, a révélé vendredi le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, M. Tayeb Louh. 31.587 entreprises ont été créées dans le cadre de l’ANSEJ, a indiqué M. Louh lors de sa visite au 17e Salon international de l’artisanat (palais des Expositions, Pins-Maritimes). Le ministre a ajouté que ces entreprises ont permis la création de 98.874 emplois avec un taux de présence de la femme de 18%. Il a par ailleurs rappelé les nouvelles mesures adoptées en faveur des jeunes chômeurs pour les encourager à s’orienter vers le secteur de l’Artisanat, dont l’octroi de 3.000 DA par mois pour les artisans qui prennent en charge des apprentis en la matière dans le cadre de « la préservation de l’artisanat ». M. Louh a visité les stands de sept micro-entreprises créées dans ce cadre où il s’est enquis des préoccupations des artisans, dont le manque d’espaces pour étaler leurs produits. À une question sur la prise en charge des malades atteints du cancer, le ministre a réaffirmé que cela relevait du rôle de l’État, car il s’agit, a-t-il dit, « d’un principe consacré par la loi ». Il a souligné, à cet effet, la nécessité d’assurer la gratuité des médicaments anticancéreux par la Pharmacie centrale des hôpitaux.

Liste des projets déjà financés par l’ANSEJ

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Chefs d’entreprise français : visite prochaine en Algérie

Une délégation de chefs d’entreprise français et binationaux séjournera en Algérie du 22 au 25 octobre, selon un communiqué du réseau Alfranc Network, organisateur de cette visite.
Ce réseau d’entreprises ambitionne la mise en lien direct de dirigeants afin de favoriser l’émergence de projets industriels et commerciaux durables entre opérateurs économiques français et algériens. Les rencontres prévues sont organisées en collaboration avec la Chambre de commerce et d’industrie algéro-française, le Club de dirigeants Melun-Val-de-Seine entrepreneurs (MVSE), l’Institut économique du monde méditerranéen (Ipemed) et la Mission interministérielle pour l’union pour la Méditerranée, ajoute la même source. Ces rencontres seront «l’occasion de présenter l’action d’Alfranc Network, de valoriser les atouts de l’économie algérienne et de mettre en valeur les compétences françaises qui peuvent être mises au service d’une croissance pérenne», lit-on dans le communiqué du réseau Alfranc Network.

Celui-ci considère que «le marché algérien constitue, à l’heure actuelle, un des points d’attrait les plus importants auprès des acteurs économiques internationaux, compte tenu de la structure de son économie et de son dynamisme. La richesse du sous-sol lui permettant d’alimenter des plans d’infrastructures ambitieux, le pays s’est lancé sur la voie d’une modernisation rapide. Ladite transformation implique un déploiement tous azimuts de compétences et de savoir-faire de pointe».

Ce réseau juge encore que «la conjoncture algérienne actuelle constitue une opportunité sans pareille pour les entités économiques de toute nature sur le territoire français». Et de préciser que «la compétence reconnue des PME et des entreprises de taille intermédiaire (ETI) françaises peut trouver de nouveaux débouchés sur ce marché dont la proximité permet d’entrevoir des perspectives plus intéressantes, allant de partenariats industriels de longue durée à l’ouverture de nouveaux marchés pour l’outil de production français. Il est utile de souligner que les stratégies d’entreprise s’inscriront dans une dynamique nouvelle de rapprochement des deux pays».

Les concepteurs de ce réseau d’entreprises plaident pour la «diplomatie économique» refondée autour d’un équilibre politique entre les deux pays. «Les structures productives et de services ont un rôle cardinal à jouer afin de consolider les rapports politiques par les échanges commerciaux», conclut Alfranc Network.

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Comment faire une étude de marché ?

L’étude de marché est une des étapes essentielles de la création d’une entreprise. Elle permet en autre de vérifier la cohérence de votre projet et sa faisabilité commerciale. Dans cet article, nous vous donnons toutes les clés pour que vous puissiez réaliser vous-même votre étude de marche.

Etude de marché : les questions à se poser

Une étude de marché est une étape primordiale pour la préparation d’un projet avant son lancement. Elle permet de collecter et d’analyser toutes les informations nécessaires pour sa mise en place dans un cadre particulier. Le projet doit donc être situé dans un contexte adéquat, notamment au niveau de sa préparation, en abordant certaines questions.
Il s’agira de choisir son marché selon le type de produit ou service à fournir, l’évolution du marché en question, les volumes de vente et le chiffre d’affaires à atteindre. Les consommateurs seront définis selon leur proximité, leurs besoins, leurs fréquences et leurs habitudes de consommation.
Les concurrents, quant à eux, seront identifiés selon leur importance, leurs prix et leurs politique technico-commerciale. Ceci permettra de s’aligner par rapport à une stratégie rodée, en identifiant les éléments à améliorer et les risques à anticiper.
L’environnement du marché devra ensuite être abordé à travers le cadre réglementaire, ainsi que les opportunités et les risques pouvant en découler. Ceci permettra de statuer quant à l’importance du projet et les innovations qu’il pourrait apporter au niveau du marché.
L’analyse de toutes ces données permettra de lancer le projet dans des conditions stables, à travers la détermination du chiffre d’affaire prévisionnel à atteindre et l’établissement d’un business plan adapté aux conditions du marché.

Etude de marché : par où commencer?

Une étude de marché est un processus de collecte et d’analyse d’informations concernant le marché dans lequel va s’inscrire le projet d’une entreprise. Cette étude permettra de statuer quant à la rentabilité du projet avant sa mise en place, et servira à élaborer un business plan suivant les nécessités définies par le marché.
Elaborer une étude de marché doit cependant s’appuyer sur une démarche rigoureuse et se faire selon des étapes précises. Il s’agit, en effet, de commencer par l’identification du problème, en mettant en relation l’activité exercée avec les objectifs à atteindre dans un certain environnement. La détermination des éléments nécessaires à l’étude se fera, ensuite, à travers l’identification de l’échantillon à étudier, des informations à recueillir et la définition du mode de collecte d’informations. Cette étape se fera en choisissant les sources d’informations selon leur fiabilité et la crédibilité de leurs résultats.
Une analyse statistique de ces données permettra d’élaborer un rapport d’étude, qui servira à orienter le choix du projet et à répondre au premier point de toute la démarche. En effet, l’analyse des opportunités et des risques du marché permettra de définir le degré d’adéquation du projet (au niveau des objectifs à atteindre), la faisabilité du projet (au niveaux technique et financier) et sa rentabilité.

Etude de marché : les erreurs à éviter

Une étude de marché est une analyse focalisée sur les besoins et les conditions du marché. Lors de son élaboration il est nécessaire d’étudier toutes les composantes de l’environnement d’un projet, en évitant certaines erreurs pouvant mener à la faillite de l’entreprise.
Ces erreurs concernent l’analyse des besoins des consommateurs. Certaines informations recueillies pouvant être volontairement erronées, il est nécessaire d’en recueillir également auprès de la concurrence. Il s’agit ainsi de se focaliser sur les besoins auxquels l’offre est la plus satisfaisante, à travers des sondages variés. Ceci permet d’éviter de surestimer ou de sous-estimer les chiffres relatifs aux besoins du marché.
D’autres erreurs peuvent découler de l’évaluation de la situation du marché et de son évolution. Il est donc nécessaire de déterminer, avec précision, les besoins et les potentiels de consommation des clients, ainsi que l’offre présentée et les résultats chiffrés des concurrents, en rapport étroit avec l’activité de l’entreprise.
Les recherches doivent également tenir compte de la zone de chalandise concernée, notamment lorsque le produit ou le service à fournir est nouveau sur le marché. En effet, ne pas connaître le potentiel de consommation dans la zone peut causer des erreurs d’étude. Il est donc capital d’en sonder les intentions d’achat avant de se lancer, et d’analyser les habitudes de consommation en tenant compte des clients de proximité.

Etude de marché : les risques d’un nouveau marché

Un projet tendant à lancer un nouveau produit ou service, ou à introduire une activité dans un nouveau marché, nécessite une étude de marché particulière. En effet, ce type de projet représente un bon nombre de risques à éviter, en rapport avec le caractère nouveau et quasi-inconnu de son environnement.
Les risques s’articulent essentiellement autour des besoins consommatoires du marché. En effet, le fait d’ignorer les vrais besoins des consommateurs potentiels peut constituer une raison d’échec du lancement du produit. Il est donc important de transposer les besoins d’une même clientèle, dans une autre zone de chalandise, en tenant compte des différences de comportement au niveau de la consommation d’une zone à l’autre.
Un autre risque peut se situer au niveau de la capacité de l’entreprise à fournir le service ou le produit en termes de quantité et de qualité. En effet, les marchés varient au niveau des nécessités, parfois pour le même produit, et il est nécessaire de déterminer les besoins cycliques de la clientèle, afin de pouvoir y répondre d’une manière satisfaisante.
Outre ces risques, d’autres peuvent se rapporter à la concurrence. Celle-ci peut en effet être présente et difficile à déloger, malgré le caractère nouveau du marché, il est donc nécessaire de prendre ce risque en compte. Les concurrents étant généralement peu nombreux, les informations chiffrées qui les concernent sont pus faciles à recueillir, et l’étude de marché devient plus facile à élaborer.

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L’Etude de faisabilité d’un projet en 4 étapes

Le but principal d’une étude de faisabilité est de déterminer la « pertinence » d’un projet, ainsi que de décider si les dépenses et moyens mis en œuvre pour le mener à bien sont justifiés. Le processus de faisabilité consiste à identifier les résultats attendus par l’activité et le client à qui vous allez livrer le produit final. Détails de la procédure.

Etudier le problème « Business »

C’est généralement le point de départ de toute étude de faisabilité. L’existence même d’un projet prend racine soit dans la résolution d’un problème « Business » soit dans le désir de saisir une opportunité donnée. Cette étape sert donc à analyser le problème ou l’opportunité, ainsi qu’à déterminer les délais d’exécution.

Les solutions de rechange

Enchaînement logique : après le problème, vient la solution. Il est nécessaire d’en prévoir plusieurs. La procédure d’identification de la solution se déroule comme suit :

– Identification des solutions de rechange

– Mesure des gains générés par chaque solution

– Estimation des coûts de mise en œuvre de chaque solution

– Évaluation de la faisabilité de mise en œuvre de chaque solution

– Identification des risques et les problèmes liés à chaque solution

Vous vous pencherez, par la suite, sur la description de toute la démarche dans votre étude de faisabilité.

Choix de la meilleure solution

Cette étape nécessitera un système de notation que vous établirez en vous basant sur des critères précis. La note elle-même dépendra de l’importance du critère. C’est ainsi que vous pourrez procéder à l’évolution des solutions de rechange précédemment sélectionnées.  Là encore, il est nécessaire de décrire la procédure dans votre étude de faisabilité.

Description de l’approche de mise en œuvre

Les étapes « techniques » de votre analyse sont terminées. Il ne vous reste plus qu’à présenter l’étude à votre partenaire financier/client. Votre conviction et votre enthousiasme lors de cette étape dépendront essentiellement de la solidité de votre étude dans son ensemble.

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Faire une étude de marché

Faire une étude de marché

Pour se projeter dans le temps, il est nécessaire de décrypter le marché et la concurrence.

Sans marché, pas de clients et donc pas d’entreprise. L’étude de marché est un passage obligé pour votre projet de création d’entreprise, et ce quelqu’en soit l’ampleur. Faire une étude de marché c’est identifier l’information dont vous avez besoin, la trouver, l’analyser et l’utiliser. Quelques pistes et conseils pour faire une étude de marché efficace.
Etudier un marché, c’est tout d’abord comprendre l’environnement dans lequel vous allez créer votre entreprise, identifier vos concurrents. Une démarche qui n’est pas toujours prise au sérieux. Ne pensez pas que parce que votre produit est tout à fait nouveau, vous n’avez pas de concurrents. C’est une erreur, car il est rare aujourd’hui de créer un besoin nouveau. Ainsi, trop de personnes créent des entreprises sans étude de marché préalable.Un principe à retenir : si vous n’identifiez aucun concurrent qui fasse le même métier que vous, c’est que vous devez avoir des concurrents indirects, c’est-à-dire qui répondent aux mêmes besoins que votre offre, mais par des moyens différents. Dans ce cas, il faut être plus averti et imaginatif pour détecter cette concurrence. Pour citer un exemple concret, au petit déjeuner, le chocolat en poudre a pour concurrent des produits différents tels que le yaourt ou les céréales. Par ailleurs, il faut identifier les fournisseurs du marché et leurs habitudes, vos clients potentiels, ou encore la réglementation du secteur en question. Le document se veut d’abord être une étude théorique, qui est ensuite complétée par une étude de terrain pour vérification.
  • Etude de marché : quelles sont les questions à se poser ?
  • Que vais-je vendre et surtout à qui vais-je le vendre ?
  • Que vais-je vendre et surtout à qui vais-je le vendre ?
  •  Que vais-je vendre et surtout à qui vais-je le vendre ?
  • A quel besoin mon offre répond-elle ?
  • Comment vais-je vendre ce produit ou ce service ?
  • Quels sont mes concurrents directs et indirects ?
  • Mon marché est-il local, régional ou international ?
  • Quelles sont les caractéristiques du processus d’achat de mon produit ?
  • Où vais-je implanter mon entreprise ?

Mais récolter l’information n’est pas une mince affaire. Trouver une information fiable et à moindre coût reste un défi. Sur Internet par exemple, vous trouverez divers organismes mettant à votre disposition des chiffres et des analyses. L’accès à ces informations peut être payant, mais pas dans tous les cas.

Outre les données disponibles sur la toile, pour trouver une information particulière et sectorielle, consultez les syndicats professionnels, les observatoires économiques et les centres de documentation des chambres de commerce. Ces deux dernières sources sont davantage locales et en contact avec le terrain. Sachez quand même que leur richesse est inégale suivant les régions et dépend largement des moyens dont ils disposent.

Ne négligez pas non plus les sources d’informations qui sont à portée de mains, comme la presse ou même les sommaires d’études qui, par ailleurs, sont payantes. Et pour identifier vos concurrents, n’hésitez pas à consulter tout simplement les Pages Jaunes.

Propos recueillis auprès de Sylvie Fardin.

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Idée de projet

Quand on parle de création d’entreprise, on distingue généralement les créations « ex nihilo » (à partir de rien) des réactivations et des reprises d’entreprises…
Dans les deux premiers cas, il s’agit de la création d’une entreprise par quelqu’un qui n’a jamais créé d’entreprise « création ex nihilo » ou par quelqu’un qui a déjà créé une entreprise auparavant (réactivation) ; dans le troisième cas, l’entreprise existe déjà (reprise). Dans tous les cas, il n’est jamais facile de franchir le pas.

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L’idée

L’idée 

Vous vous sentez désormais prêt à prendre votre destin en main, après avoir identifié vos atouts, vos faiblesses, vous devez croire à votre idée, qu’elle soit née de votre expérience, de votre savoir-faire, de votre créativité, elle a de la valeur seulement dans votre esprit, vous allez devoir la formaliser et la transformer progressivement en projet.

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