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ANDI: plus de 7.700 projets d’investissements en 2012

L’Agence nationale de développement de l’investissement  (ANDI) a enregistré durant l’année écoulée, 7. 715 projets d’investissements  pour une valeur de 816 milliards de DA, selon un bilan de l’agence publié sur son site web.

Ces projets devant créer plus de 91.000 nouveaux emplois sont au même  niveau enregistré par l’ANDI pour l’année 2011. Pour les investissements impliquant des étrangers, l’agence indique, qu’ils ont atteint 17 projets pour un montant d’environ 42 milliards de DA.      Analysant par secteur d’activité des projets déclarés, l’ANDI relève la persistance de la forte prépondérance des secteurs du transport (3.864 projets), soit plus de 50,08% du nombre global déclaré, suivi par le BTPH (1.460 projets, 18,92%), l’industrie (1.135 projets, 14,71%) et les services (955 projets, 12,38%).

Les données de l’ANDI précisent par ailleurs, que les secteurs du tourisme, de l’agriculture, de la santé et loin derrière les télécoms sont en marge avec  seulement plus de 4% par rapport à l’ensemble en termes de projets et totalisant 201 projets. En termes de valeur, le secteur de l’industrie est quasi dominant puisqu’il engrange près de 40,31% du  montant global des investissements, suivi par le  BTPH (15,15%), les télécoms (17,47%) et le tourisme (11,55%).

Selon l’ANDI, sur le montant global des investissements déclarés (816  milliards de DA), une somme de 405 milliards de DA a été destinée à l’importation d’équipements nécessaires à la réalisation des projets. Les montants des fonds propres mobilisés par les promoteurs sont de 471milliards de DA dont 466 milliards en apports en numéraires soit un ratio d’autofinancement  de 58%. Le taux d’autofinancement est passé ainsi de 73% en 2011 à 58% en 2012.

Cette baisse s’explique notamment par « les efforts déployés par les banques en vue du financement de l’économie et en particulier l’investissement ainsi que le développement de plusieurs nouveaux instruments de financement telles  que les sociétés de leasing », indique l’agence, relevant que « la contribution des fonds de wilaya reste timide compte tenu de leurs créations récentes ».

« En résumé, c’est la même tendance qui a été observée en 2011 et qui se  poursuit en 2012 et qui va en s’intensifiant notamment avec les mesures prises  tant aux niveaux structurels que conjoncturels émises par les pouvoirs publics  et qui donnent des signaux favorables en retour », commente l’agence.

2012 a été annoncée comme l’année de l’investissement compte tenu des  décisions importantes, qui ont été prises par les pouvoirs publics pour booster  les projets d’investissement appelés à créer des emplois, réduire la facture des importations et assurer un développement harmonieux des territoires.

 

Source: http://www.elwatan.com

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Le paiement mobile n’est pas encore pour demain

Plusieurs experts et spécialistes ont répondu favorablement à l’appel de l’organisateur d’évènements DZwebdays. Ce dernier a organisé trois jours de conférence autour du thème « paiement mobile en Algérie » et des séances de formation sur le wordpresse dédiées particulièrement aux jeunes porteurs de projets relatifs au commerce et au paiement en ligne.

Les étudiants de l’université de Saad Dehleb de Blida, qui a abrité l’événement n’ont pas manqué  le rendez vous. Les priorités de cette initiative est de démontrer l’intérêt que porte aujourd’hui les jeunes aux technologies susceptibles de  révolutionner le marche algérien.

En effet, les intervenants venus de plusieurs pays dans l’objectifs d’exposer leur expérience et faire profiter de  leur savoir-faire a l’instar la Tunisie, le Sénégal, le Maroc et de la Libye,  ont insisté, lors des conférences sur la nécessité d’informer et de former les gens sur ces nouveaux mécanismes de paiement qui sont compliqués mais efficaces pour booster l’économie.

Cette cinquième édition a caractère économique substantiellement et technologique à la base a  été, également, rehaussée par la présence d’un jeune spécialiste algérien, Mohamed Hadj Sahraoui, qui a pour ambition de lancer la première entreprise de paiement mobile. Un projet de grande envergure assisté par les sites de vente en ligne encore jeunes en Algérie. L’expert en télécommunications M. Younes Grar a exprimé, quant a lui,  son soutien à ce genre d’initiative tout en reconnaissant les difficultés  techniques, réglementaires et financières auxquelles seront confrontés les jeunes porteurs de ce type de  projets de paiement mobile.

«Le processus de paiement mobile n’est pas encore intégré dans la culture de l’entreprise et du consommateur algérien, mais cela ne veut pas dire que l’équation vente et paiement en ligne est irréalisable. Cependant, nous souhaitons que l’institut public reconnaisse l’utilité de ces projets pour l’économie et le développement technologique national. La volonté ne suffit pas, mais il faut assurer l’encadrement et la sécurité juridique de ces projets encore en voie de conception», indique M. Sahraoui avec optimisme. Un avis partagé et soutenu par, les représentants du site Octave, echrily, et tous les invités étrangers tunisiens et marocains.

« Octave présent en Algérie en vue de répondre  à la demande des entreprises et des startups pour lancer leur propre business sur le net. Nous allons créer un nouveau site appelé «Kitabi», pour la vente en ligne de livre en Algérie. C’est une première en Algérie», souligne M. Mazni Selim représentant du site Octave. En marge des conférences, les jeunes participants ont affirmé  que « le paiement mobile en Algérie arrivera tôt ou tard vu les mutations et l’évolution technologique qui émergent dans le monde entier.

L’Algérie ne fera pas exception mais la mise en place de ce mode de paiement mobile prendra du temps et demandera davantage d’efforts».  l’évènement consacré au paiement mobile qui est sponsorisé par l’opérateur de la téléphonie mobile Nedjma se poursuivra jusqu’au samedi 23 février avec au menu plusieurs autres conférences et formations.

 

Source: http://www.algerie360.com

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Les sites de e-commerce en Algérie vont s’organiser en association

Malgré l’absence du paiement en ligne, le e-commerce se déploie progressivement en Algérie à travers l’apparition de plusieurs sites marchands. Faute de réglementation pour cadrer le secteur, la qualité de ces sites demeure, pour l’instant, inégale. Au-delà du résultat immédiat, toutes ces tentatives ont le mérite de poser les bases d’un nouveau marché promis à une expansion rapide.

« Notre projet arrive peut-être un peu tôt compte tenu de la situation actuelle du commerce en ligne en Algérie », affirme le fondateur du site Nechrifenet.com (http://www.nechrifenet.com/), Djamel Bendjaber, dont la société Sarl Algérie Cyber Market a entrepris depuis deux ans d’importants investissements dans le e-commerce. Ce commerçant de 48 ans, à la tête d’une société de distribution, au chiffre d’affaires de 400 millions de dinars pour l’année 2012, a vu grand pour son entreprise de e-commerce qui emploie 25 personnes. Nechrifenet.com, lancé le 16 janvier dernier, propose 500 produits à la vente dans les secteurs de l’équipement maison, l’électroménager, la téléphonie, l’informatique, la puériculture, etc. Chaque produit est accompagné de photographies de qualité prises sous différents angles et d’une notice détaillée. Pour toute question, une assistance téléphonique est disponible 5 jours sur 7.

« On n’a rien inventé, on n’a fait que copier des modèles existant en les adaptant à l’Algérie », prend soin de préciser Djamel Bendjaber. En l’absence de cartes de crédit, Nechrifenet.com propose un paiement par virement ou par chèque. A défaut d’un service postal efficace, la livraison s’effectue à travers un réseau de points relais. Le fondateur de Nechrifenet.com en aurait-il «trop fait» ? Qu’importe le résultat, pour Djamel Bendjaber, le but d’Algérie Cyber Market est avant tout de construire un modèle afin de se positionner sur un marché encore vierge. Ce commerçant passionné encourage ainsi la création de sites de e-commerce quels que soient les moyens. «Je préfère de petites initiatives, même imparfaites, que rien du tout car la compétition crée la qualité», avoue-t-il. «Il ne faut pas hésiter et laisser le projet dans le tiroir».

Les petits ruisseaux font les grands fleuves

L’appel semble avoir été entendu par Lamine Ghemati, fondateur du site de e-commerce Tbeznyss.com, lancé le 12 janvier dernier, spécialisé dans la vente de produits électroniques. Ce jeune entrepreneur de 28 ans a élaboré le site avec deux amis pendant deux ans uniquement à l’aide de fonds propres, estimés par l’intéressé, à 500.000 dinars. «Au départ, on souhaitait réaliser notre projet à l’aide de l’ANSEJ mais le dossier a pris tellement de temps pour finir par un refus des banques de nous prêter de l’argent que nous l’avons finalement lancé sans aides extérieures», raconte au téléphone Lamine Ghemati. Grâce à sa formation en informatique, il a développé l’intégralité du site en utilisant la plateforme gratuite en open source « Open Cart », à laquelle il a ajouté des modules payants ou développés par ses soins, afin de la transformer en site de e-commerce adapté à l’Algérie. A la différence de Nechrifenet.com, Tbeznyss.com propose pour ses 80 articles disponibles un paiement en ligne par compte virtuel prépayé epay.dz (https://www.epay.dz/fr). Toujours dans cette volonté d’offrir le maximum des avantages du e-commerce, un service de livraison à domicile a été mis en place pour la wilaya d’Alger et sa périphérie. Bien conscients des «éventuelles craintes ou appréhensions» liées à la nouveauté du marché inconnu, les fondateurs de Tbeznyss.com ont pris soin de rassurer les clients potentiels en détaillant l’ensemble de la procédure d’achat dans les rubriques «A propos de» et «Conditions générales de vente» bien remplies. La première informe ainsi : «[…] Nous tâcherons de répondre à toutes vos questions concernant les produits ou les procédures mises en place pour le traitement de vos commandes». Interrogé sur la rentabilité de l’entreprise qui emploie trois salariés à plein-temps et deux consultants, l’entrepreneur en herbe a eu une réponse similaire à celle du commerçant expérimenté, Djamel Bendjaber : «Ce n’est pas notre objectif à court terme», a-t-il répliqué. «Notre volonté pour l’instant est de développer le e-commerce en Algérie».

Une filière à professionnaliser

Beaucoup reste effectivement à accomplir pour hisser le e-commerce au rang de véritable activité économique. Car, à l’heure actuelle, ce sont surtout les sites amateurs aux nombreuses imperfections qui peuplent la Toile, à l’image du site Fêteshop.fr (http://www.feteshop.fr/index.php?route=common/home) spécialisé dans la vente en ligne d’accessoires de mariage. Construit en une semaine, complété en deux, Fêteshop.fr fonctionne avant tout comme un catalogue en ligne proposant une soixantaine d’articles, de l’aveu de son fondateur Abbas Meziane : «J’ai lancé ce site en août 2012 pour répondre à une demande récurrente de la clientèle de recevoir des échantillons des produits proposés», explique au téléphone ce commerçant de 36 ans, gérant d’un magasin de produits de mariage et de fête à Alger depuis 2002. Créé sans un sou et par une seule personne, le site semble inachevé avec des rubriques vides comme «About us» et «Conditions générales de vente» censées renseigner les internautes sur la procédure d’achat en ligne. Et pour cause, Fêteshop.fr n’a rien d’un site de e-commerce. Le paiement s’effectue par cash au moment de la réception de la commande que le client récupère dans l’une des boutiques partenaires.

Malgré tout, la multiplication des sites de e-commerce algériens a contraint les autorités concernées à s’emparer du sujet. Le Ministre du Commerce, Mustapha Benbada, a annoncé fin janvier la mise en place «d’une petite commission» composée des représentants du ministère du Commerce, de la Justice et des Télécommunication pour élaborer une plate-forme règlementaire pour le e-commerce et la signature électronique. Car en l’absence d’un cadre légal, toutes les pratiques se côtoient. Les noms de domaine varient du « .dz », au « .com » en passant par le « .fr », sans réelle explication.

Face à ce vide juridique, les acteurs du e-commerce tentent de s’organiser par eux-mêmes. Le fondateur de Tbeznyss.com, Lamine Ghemati envisage de créer une association des acteurs de la vente à distance sur le modèle de ce qui existe déjà en France à travers la Fédération du e-commerce et de la Vente à Distance (FEVAD) (http://www.fevad.com/la-fevad/presentation-de-la-fevad#topContent). Autre initiative : les rencontres du e-commerce organisées à Alger tout au long de l’année 2013 par la société française Octave.biz dont le but est de fédérer le plus de personnes possibles autour de ce marché en pleine expansion, selon les mots du chargé de développement en Algérie, Selim Mazni. Et ainsi amener le e-commerce à devenir un secteur économique structuré et rentable.

 

source: http://www.lequotidien-oran.com/

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Financement des projets: La présentation d’un bon business-plan est obligatoire

La présentation d’un business-plan bien mâturé sera désormais obligatoire pour toute demande de financement de projet.

Une instruction du ministère des Finances est prise en ce sens selon le directeur de l’Industrie, de la Petite et Moyenne industrie et de la Promotion de l’investissement de la wilaya d’Alger. Intervenant lors de la journée d’information organisée hier au siège de l’Institut national supérieur de la pêche et de l’aquaculture (INSPA) d’Alger, M. Hamou a estimé que la qualité et la faisabilité d’un projet industriel ou de services dépendent essentiellement de la présentation d’un bon business-plan.
Un plan qui doit être élaboré de manière professionnelle impliquant l’expertise des centres de facilitation et des agences engagées dans la gestion des programmes de création d’entreprises et soutien à l’emploi, explique-t-on.

 

Source: http://www.lesoirdalgerie.com

Voir aussi:

http://www.pme-dz.com/le-business-plan/

http://www.pme-dz.com/definition-et-deroulement-dun-business-plan/

http://www.pme-dz.com/etape-de-realisation-dun-business-plan/

http://www.pme-dz.com/comment-realiser-un-business-plan/

http://www.pme-dz.com/plan-de-financement-sur-excel/

http://www.pme-dz.com/modele-de-business-plan-gratuit/

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Relance Industrielle et usage des TIC: Signature d’une convention-cadre

La relance économique et industrielle peut-elle se passer de l’usage des technologies de l’information et de la communication au moment où la compétitivité fait rage autour d’un meilleur positionnement localement et la conquête de parts de marché à l’international ? 
Une fausse question tant elle porte en elle-même la réponse dont les premiers responsables des deux départements ministériels, ceux de la Poste et des Technologies de l’information et de la Communication et de la PME et de la Promotion de l’investissement, en sont convaincus. C’est pour cela, d’ailleurs, qu’ils sont allés au-delà de la simple profession de foi maintes fois et publiquement exprimée pour matérialiser cette conviction commune. C’était hier, à travers la signature d’une convention-cadre portant intégration des technologies de l’information et de la communication comme vecteur structurant et instrument de modernisation et de promotion des entreprises industrielles et autres PME. Intervenant en premier avant le paraphe de cet accord, Chérif Rahmani a tenu d’abord à partager sa conviction selon laquelle il ne saurait y avoir d’industrie sans services et sans technologies avant de sérier les objectifs assignés à cette convention. En tout premier lieu, dématérialiser l’administration dans tous ses démembrements à travers la généralisation des nouvelles technologies, invitant, au passage, le responsable informatique de son département à mettre en pratique le plan de développement de l’internet datant de deux ans. En second lieu, poursuivra-t-il, il s’agira de transformer numériquement la sphère économique, plus particulièrement celle de l’industrie à travers deux niveaux : la transformation numérique de l’administration et des entreprises industrielles et des PME. Rahmani se voudra plus explicite en évoquant l’élaboration de programmes de formation en TIC pour le secteur industriel et les PME ainsi que la diffusion de ces nouvelles TIC et la généralisation de leur usage à même, dira-t-il, de permettre à ces entités industrielles de développer leur compétitivité sur les marchés. Il parlera également de l’encouragement de l’innovation en favorisant la création d’entreprises innovantes (start-up) avec l’incitation des entreprises industrielles et des PME à initier des projets de recherche dans le domaine des TIC. Plaidant pour que nos entités économiques prennent, enfin, conscience de tout l’apport et de l’appui incommensurables des TIC, Moussa Benhamadi insistera sur l’impérative mobilisation de tous, pour que nos entreprises s’y intéressent, car seule issue, selon lui, à même de leur permettre plus d’agressivité régionale voire internationale. Il fera part, de l’étude, la semaine prochaine, par le CPE (Comité de participation de l’Etat), d’un plan élaboré par la commission haut-débit portant généralisation de la fibre optique aux agglomérations de moins de 1000 habitants. Un projet qui profitera également aux zones d’activités aux quatre coins du pays.

 

source: http://www.lesoirdalgerie.com

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Mécanismes pour la protection de la propriété intellectuelle

L’Algérie se verra bientôt dotée d’un BTT (Bureau de transfert de technologies) et de mécanismes pour la protection de la propriété intellectuelle.

C’est ce que Ali Jazairy, chef du département innovation et transfert des technologies à l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), a indiqué hier, en marge de la seconde consultation de cette organisation pour la région Afrique/Moyen-Orient, Le projet, d’un montant de 450 millions de dollars, sera installé au cyber-parc de SidiAbdellah et sera financé par plusieurs organismes bancaires dont la Banque africaine de développement (BAD) et la Banque mondiale (BM).

L’accord-cadre sera paraphé cette année et sa concrétisation interviendra au bout de 26 mois. Les promoteurs du projet assignent à ce dernier, le rôle de réceptacle de tous les jeunes innovateurs qui y trouveront le cadre idéal pour concrétiser leurs idées novatrices. Ce qui permettra au pays de constituer un réseau de porteurs d’idées novatrices, un peu à la Silicon Valley aux Etats-Unis, ce pôle des industries de pointe constitué de PME de deux à trois personnes au maximum et qui servent de locomotive à l’économie américaine. Le projet participe du souci de l’Etat de rapprocher la sphère de l’innovation, de la sphère économique comme le soulignera, d’ailleurs, le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, à l’ouverture de cette manifestation de deux jours qui se tient à l’hôtel Aurassi Pas seulement ce projet puisque l’Algérie est sur le point de se doter aussi de mécanismes pour la protection de la propriété intellectuelle.

«La protection de la propriété intellectuelle est une question complexe. Ceci demande un certain nombre de mécanismes que nous sommes en train de mettre en place», a fait part Chérif Rahmani. Des mécanismes rendus inéluctables du fait, arguera Cherif Rahmani, que la non protection de la propriété intellectuelle peut créer des « dérives importantes et inorganisées, à même d’encourager fortement la création de la connaissance et de l’innovation», ce qui, tout aussi inévitablement, profitera à des économies autres que la nôtre, dira encore le ministre. «Cette rencontre est une occasion pour bénéficier des expériences des pays développés dans ce domaine, l’objectif étant de créer une infrastructure intellectuelle et scientifique de formation et de recherche qui permet d’avoir le support essentiel au développement des brevets et une économie qui puisse absorber ces brevets», a-t-il relevé.

La deuxième consultation régionale sur le transfert de la technologie dans la région Afrique et Moyen-Orient, sera sanctionnée, ce mercredi à la clôture de ses travaux, par une série de recommandations pour optimiser le transfert technologique des pays industrialisés vers les pays en voie de développement. Elle est la seconde rencontre après la première tenue en juillet dernier à Singapour, dans l’attente de la tenue de trois autres rendez-vous similaires.

 

Source: http://www.lesoirdalgerie.com/

 

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Création d’entreprises: Des facilitations en vue

Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, tente de dérouler davantage le tapis rouge pour les prétendants à la création de micro- entreprises à caractère commercial dans le cadre des dispositifs Ansej, Andi et Cnac.

Il a en effet proposé, dans le cadre du Conseil de gouvernement tenu mercredi passé, de nouvelles mesures à même de réduire la paperasse que ces dispositifs demandent, mais aussi les dépenses y afférentes. Il s’agit, en premier – et c’est là la mesure la plus importante – de dispenser les jeunes de fournir dans leurs dossiers le bail de location.

La proposition de Benbada offre, de ce fait, aux jeunes la possibilité de s’inscrire au Centre national du registre du commerce, sans cette pièce, qui a fait courir beaucoup de jeunes… parfois vainement. Ça leur permettra également d’économiser des sommes considérables, puisqu’ils n’auront pas à louer des locaux inutilement, du moins pour les premiers mois.

Le prétendant au crédit doit uniquement mentionner l’adresse du notaire avec lequel il  «traite». A noter que cette mesure concerne beaucoup plus les activités qui ne nécessitent pas forcement de local, à l’instar du secteur tertiaire.

Interrogé sur le sujet, Hadj Tahar Boulenouar, le porte-parole de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), qui a salué l’initiative, trouve néanmoins que cette décision peut influencer les prix de location, notamment dans les grandes villes. «Un jeune qui arrive à avoir un crédit sans local, pour monter sa propre affaire, est contraint d’en trouver un très rapidement.

Ce qui pourrait influer sur la demande des locaux qui risque de s’accroître, et de là peut naître une spéculation dont les propriétaires n’hésiteront pas à profiter», dit-il. L’autre mesure que le ministre du Commerce a proposée est l’exonération, durant deux ans, des frais de registre du commerce, à commencer par l’inscription.

Ce n’est pas tout ! Le même ministre voudrait que les jeunes qui ont des antécédents judiciaires puissent créer leurs entreprises, à condition que les délits commis ne relèvent pas de la criminelle ou encore de l’économique. Encore une fois, M. Boulenour salue cette mesure, «puisque, dira-t-il, la plupart de ceux qui activent dans le commerce informel ont des casiers, ce qui le fait penser qu’il ne trouveront nulle part de postes stables».

«C’est une initiative qui vise en premier de combattre le commerce parallèle qui nuit sérieusement à l’économie nationale», dit-il, regrettant le fait que la plupart des jeunes se tournent vers le secteur des services et des activités, non productifs. Il a également déploré le fait que le gouvernement n’ait rendu aucun bilan sur les différents dispositifs de création d’emplois.

«On ne sait pas combien d’argent a été accordé aux jeunes, le nombre de ceux-ci, ni encore ceux qui ont pu rembourser… On ne sait pas également comment se fait le suivi. On sait juste que l’Etat ne demande pas suffisamment, voire du tout, de garanties. On a vu, malheureusement, des gens qui ont bénéficié de crédits considérables qu’ils utilisent dans les belles voitures…», regrette-t-il.

source: http://www.algerie360.com

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Algériens aux Etats-Unis veulent investir en Algérie

Des hommes d’affaires algériens établis aux Etats-Unis ont exprimé leur «forte» volonté de créer des entreprises industrielles et d’investissement dans les activités productives en Algérie, notamment dans les technologies de pointe et les énergies renouvelables.

Des hommes d’affaires algériens établis aux Etats-Unis ont exprimé leur «forte» volonté de créer des entreprises industrielles et d’investissement dans les activités productives en Algérie, notamment dans les technologies de pointe et les énergies renouvelables. Vingt (20) opérateurs économiques sont venus en Algérie pour examiner les moyens de transfert de leur expérience acquise aux Etats-Unis à travers la création d’entreprises et le renforcement de la production industrielle dans plusieurs domaines, a précisé Kamel Ounedjla, représentant de la délégation d’hommes d’affaires, après avoir été reçu par le ministre de l’Industrie, de la Petite et Moyenne Entreprises et de la Promotion de l’investissement, M. Chérif Rahmani. La rencontre a permis d’aborder les facilitations à même d’accélérer les investissements des hommes d’affaires en Algérie. «Nous menons actuellement des discussions avec le ministère de l’Industrie en vue d’obtenir des facilitations», a dit le représentant de la délégation. «Nous avons les moyens et la volonté de travailler ici mais nous rencontrons  certaines entraves. C’est pourquoi nous voulons travailler avec les responsables  du secteur à l’aplanissement de ces difficultés», a-t-il ajouté. Sans préciser la nature des difficultés rencontrées par les entreprises de la délégation, M. Ounedjla a indiqué que «les entretiens avec le ministre  de l’Industrie et les cadres du ministère avancent très bien». «Pour l’heure, tous les voyants sont au vert», a-t-il dit. Le représentant de la délégation d’hommes d’affaires algériens établis aux Etats-Unis a affirmé que les entrepreneurs l’accompagnant étaient en mesure de mener les mêmes activités qu’aux Etats-Unis et avec la même qualité  en vue de couvrir le marché local et exporter vers l’étranger. «Nous ambitionnons de faire de l’Algérie une base d’exportation de produits de qualité supérieure vers l’étranger. L’intérêt que nous accordons à la qualité dans la production renforcera notre compétitivité sur les marchés internationaux», a déclaré M. Ounedjla. La plupart des entreprises présentes dans la délégation sont implantées dans la Silicon Valley, un des plus importants pôles technologiques dans le monde. Ces entreprises activent dans des domaines tels que les énergies renouvelables et les industries à base de silicium. «Mon entreprise exporte vers la Chine et vers plusieurs autres pays d’Asie. Pourquoi ne pas le faire à partir de l’Algérie si les conditions s’y prêtent ?», a conclu M. Ounedjla, dont l’entreprise spécialisée dans l’énergie solaire emploie plus de 2 500 travailleurs.

 

source: http://www.elmoudjahid.com

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Colloque économique Algérie (Nanterre, France)

«Un partenariat concret et réel, sur des secteurs stratégiques»

« Pour une véritable coopération économique » tel est le thème de la 2ème édition du colloque Algérie, organisée par l’association pour la coopération franco-algérienne (Acfa92) sous le patronage du consulat d’Algérie, tenue lundi à la salle des congrès de l’hôtel de ville de Nanterre.

«La balle est dans le camp de nos amis français » a déclaré, en préambule à son intervention, M. Boualem M’rakach, le président de la confédération algérienne du patronat, pour préciser que les opérateurs économiques de l’Hexagone n’ont aucun prétexte pour venir investir en Algérie. Concernant le 49/51 que ces derniers mettent avant comme une embûche à tout investissement en Algérie, M. M’rakach a souligné que « ce n’est pas pour sanctionner qu’on impose cette « option » Il y a beaucoup d’avantages dans ce 49/51, il faut seulement le découvrir. Et puis, cela existe dans 32 pays du monde. Pour nous, il n’existe pas de sujets tabous, on est prêt à tout mettre sur la table. Il y a, c’est vrai, des difficultés, mais il y a aussi des difficultés supposées. Au niveau des ateliers, les différents opérateurs ici présents ont tout le loisir d’en discuter. M. Gérald Chartier, spécialisé dans l’hôtellerie et la restauration (des investissements ont été réalisés dans ce sens à Constantine) appuiera nettement cette idée. « Si on veut travailler dans un pays, il faut se plier à ses règlements »

Pour Jean-Luc Duhamel, président de la confédération du patronat des petites et moyennes entreprises du 92 « C’est vrai, les opérateurs français ne sont pas habitués à laisser la majorité, d’où des réticences; mais je vous le dis, il ne faut pas s’arrêter à ça. Notre métier, ce n’est pas de dire « c’est impossible », mais de valider des projets concrets, costauds. Je suis tellement optimiste pour ces partenariats que je pars en Algérie très prochainement pour un projet concernant l’eau (des machines de récupération de l’humidité pour la production de l’eau potable) »

Mounir Gaouar, industriel franco-algérien, à qui revient l’initiative de l’organisation de ce colloque, a indiqué pour sa part que «que ce colloque a permis la rencontre des fédérations françaises et du patronat algérien, de recevoir les besoins des PME algériennes et leur proposer des PME françaises, nous avons également présenté des sociétés internationales, notamment belges à la confédération nationale du patronat (algérien) Nous sommes pour la création de joint venture pour le transfert de technologie et de savoir faire, parce que nous sommes contre le fait qu’on considère l’Algérie seulement comme un marché. Cela ne nous intéresse pas. Nous avons également emmené à Alger des délégations internationales, des Allemands et des Polonais. Et pour la prochaine étape, nous emmènerons en Algérie une importante délégation d’entreprises internationales spécialisées dans les secteurs clefs, comme le BTP, les TIC… Nous créerons à cette occasion un institut de la formation professionnelle. Pour moi personnellement, je me suis remis sur le marché algérien dans les domaines de l’agro-alimentaire et le prêt-à-porter, et nous avons le droit d’être optimistes parce que nous possédons tous les atouts pour relancer le partenariat gagnant- gagnant entre les deux pays… »

 

source : http://www.elwatan.com

 

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l’Agence Nationale de Développement de la PME

 

L’ANDPME, chargée de la mise en œuvre et de la gestion du programme national de mise à niveau des PME, est tenue de Veiller à :

Suivi d’exécution de la convention par :

  • La mise en place par la PME du plan de mise à niveau
  • Le respect des délais contenus dans la présente convention
  • La réalisation efficiente des missions effectuées par le bureau d’études et de conseil au sein de la PME ;
  • La production par le bureau d’études et de conseil de rapports de qualité conformément aux termes de référence annexés à la présente sous le n° 2 ;
  • la validation des travaux des bureaux d’études et de conseil

Et dans tous les cas, veiller au contrôle et au suivi de toutes les opérations entreprises
dans le cadre de la présente convention.

Suivi de la mise en œuvre des actions :

  • la supervision de la mise en place des actions contenues dans le plan de mise à niveau de la PME, à savoir :
  • l’ANDPME assure le suivi des missions comme suit :

Pour les études de diagnostic et plan de mise à niveau, conformément aux étapes de déroulement contenues dans les termes de référence, canevas et fiche de synthèse (respectivement annexes n°, 2, 3, 4,5)

Pour la réalisation des actions de mise à niveau, suivant les termes de référence proposés par le bureau d’études et de conseil ayant réalisé le pré-diagnostic et diagnostic et plan de mise à niveau, validés par la PME et par l’ANDPME.

Formalisation du suivi :

Le suivi est réalisé principalement à travers des rapports et contacts formels entre le bureau d’études et de conseil, la PME et les responsables de l’ANDPME chargés du suivi.

Constat de réalisation
L’ANDPME et/ou le Ministère chargé de la PME se réservent le droit de vérifier la matérialité des actions réalisées.

voir: http://www.andpme.org.dz/

 

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