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Formation managériale : accord de partenariat entre l’Inped et HEC Montréal

La coopération de l’Institut national de la productivité et du développement industriel (Inped) avec HEC Montréal date des années 1970.

L’Institut national de la productivité et du développement industriel (Inped) a signé, hier au siège du ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement à Alger, une déclaration d’intention de collaboration avec HEC Montréal, représenté par son directeur général, Michel Patry. Le contrat porte sur le lancement d’un projet d’accompagnement au profit de l’Inped, et ce, dans le cadre de «la mise en œuvre des politiques de redressement industriel à travers le développement et la promotion de la compétitivité des entreprises industrielles et des PME visant l’amélioration de leur positionnement sur les marchés», a indiqué le ministre Cherif Rahmani.

Un programme de formation de top management est ainsi initié par le ministère en charge du secteur au profit des dirigeants et des cadres supérieurs des entreprises industrielles. Le programme de coopération entre les deux instituts sera dirigé par Mohamed Arezki Isli, fondateur et premier directeur général de l’Inped, est-il encore précisé. A ce propos, M. Isli ne manquera pas de rappeler que la coopération avec HEC Montréal date des années 1970. Elle s’est interrompue à une certaine période, mais la conclusion de cet accord va apporter une nouvelle dynamique dans les relations entre les deux instituts et contribuera énormément à la mise en œuvre du plan de redressement, déjà en cours, de l’Inped.

Selon lui, l’accord conclu avec l’école montréalaise permettra «d’apporter des solutions aux grands problèmes relatifs à la relance industrielle, en ce sens que la formation managériale constitue aujourd’hui l’un des piliers essentiels sur lequel le plan de relance s’appuie». Pour M. Rahmani, la reprise du partenariat entre l’Inped et HEC Montréal «assurera le transfert de savoir vers nos institutions et permettra d’accompagner l’Inped dans son travail, d’autant qu’il compte lancer deux MBA, professionnel et exécutif».

 

Source: http://www.elwatan.com/

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Programme de mise à niveau : seulement 719 PME bénéficiaires

Jusqu’à fin novembre dernier, seulement 719 entreprises ont bénéficié du programme national de mise à niveau, selon Rachid Moussaoui, directeur général de l’Agence nationale de développement de la PME (ANDPME).

Ces PME se sont vu octroyer des aides financières sur les 2153 dossiers déposés par les demandeurs au niveau de l’agence, a-t-il révélé hier à Alger lors de la Journée nationale de la normalisation. Le secteur de l’industrie manufacturière représente 18% du nombre total des PME ayant obtenu les aides financières jusqu’au 31 novembre dernier. Les services, eux, totalisent un taux de 12% de la composante totale des PME bénéficiaires, dont 4% sont des entreprises opérant dans le secteur de l’industrie agroalimentaire, 3% issues des transports et 1% de la pêche.

Lancé en janvier 2001, soit plus d’une année de retard, le programme en question est doté de 385,7 milliards de dinars et devrait  bénéficier de 20 000 PME d’ici 2014. Il se décline à travers trois phases : le pré-diagnostic et le diagnostic, l’investissement matériel et immatériel, la formation et l’assistance spécifique. Selon le DG de l’agence, tous les moyens sont réunis pour la poursuite dudit programme qui a pour objectif le renforcement de la compétitivité de l’entreprise nationale et l’amélioration de son environnement. Pour ce faire, 317 bureaux d’études vont intervenir afin de prendre en charge les demandes des PME.

 

source: http://www.elwatan.com

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Industrie nationale : mise en place d’un comité de réflexion

Le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, Cherif Rahmani, a mis en place un comité de réflexion chargées d’élaborer un programme de redressement de l’industrie nationale, apprend-on auprès des membres de ce comité.
Celui-ci est composé de chefs d’entreprise, de cadres supérieurs du ministère, d’un représentant du ministère des Finances, des directeurs généraux de l’ANDI et de l’Aniref. Des universitaires et des experts de renom font également partie de ce conglomérat ; l’on peut citer, entres autres, Abdelmadjid Bouzidi, Abdelhak Lamiri, Hocine Benissad, Abdelmalek Serrai et Mohamed Cherif Belmihoub. Aussitôt installé, ce comité mixte a déjà engagé un travail de diagnostic avant d’élaborer une série de mesures concrètes destinées, dans l’ensemble, à permettre un décollage de l’appareil industriel. Après validation, ce programme de redressement fera partie intégrante du plan d’action du gouvernement. «Le pays s’est désindustrialisé. Maintenant, il faut faire redémarrer l’appareil industriel. Il existe un potentiel national important. Le but est de le remettre en marche avec une perspective nouvelle», estime-t-on encore.

Il s’agit surtout de conquérir le marché national en diminuant le volume des importations, de faciliter les procédures d’investissement industriel en direction du privé national et étranger, et de reconstruire la ressource humaine. Ce plan, insiste-on, sera aux antipodes des politiques engagées dans le secteur comme celle de l’ex-ministre Abdelhamid Temmar. L’industrie nationale, aujourd’hui maillon faible de l’économie algérienne, est passée en 20 ans de 18% du PIB à 5%. Les différents gouvernements ont injecté des sommes astronomiques sans pour autant pouvoir redresser un secteur en constante désintégration.

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L’idée

L’idée 

Vous vous sentez désormais prêt à prendre votre destin en main, après avoir identifié vos atouts, vos faiblesses, vous devez croire à votre idée, qu’elle soit née de votre expérience, de votre savoir-faire, de votre créativité, elle a de la valeur seulement dans votre esprit, vous allez devoir la formaliser et la transformer progressivement en projet.

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