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Opportunités d’investissement en algérie présentées à Rome

Les opportunités d’investissement en Algérie, la législation algérienne en la matière et les atouts offerts par le marché algérien ont été présentés hier à Rome par Réda Hamiani, le chef d’une délégation des opérateurs algériens participant à un forum d’affaires avec leurs homologues italiens.

Au cours de cette rencontre qui a eu lieu au siège de la Confindustria (patronat italien), a également, évoqué les grandes lignes du plan quinquennal 2010/2014 doté de 286 milliards de dollars dont une bonne partie consacrée aux projets structurants, selon une source proche de la délégation algérienne.

Au sujet du partenariat entre opérateurs nationaux et étrangers, le président du Forum des chefs d’entreprises (FCE) a rappelé aux opérateurs économiques italiens que la réglementation algérienne octroie 49% des parts aux investisseurs étrangers contre 51% aux nationaux.

Pour M. Hamiani, l’Algérie qui dispose d’un «marché sain», a adopté un modèle de développement très intéressant pour les entreprises et c’est un pays «politiquement stable» qui a enregistré un taux de croissance de plus de 3% ces dernières années.

Il a également fait savoir que le Produit intérieur brut (PIB) de l’Algérie a atteint au cours des dernières quatre années, les 200 milliards de dollars, que le pays dispose de réserves de changes évaluées à 200 milliards de dollars et que le revenu par habitant s’est établi à 5.400 dollars.

Une économie ouverte

Dans cette présentation, le président du FCE a, également, indiqué que l’Algérie qui a épongé sa dette extérieure, a opté pour «une économie ouverte» depuis une vingtaine d’années, et constitue «un marché important» pouvant intéresser les entreprises italiennes.

Il a par ailleurs, rappelé que l’Algérie a adopté une nouvelle politique industrielle visant à réduire sa dépendance des hydrocarbures, et à réduire ses importantes importations de produits agroalimentaires, mettant en avant l’adoption du nouveau codes des marchés qui a réintroduit la formule du «gré à gré». Il a également expliqué à l’assistance les modalités de l’accès au marché algérien pour les opérateurs étrangers, contenues dans la législation nationale en la matière.

Les opérateurs italiens « très intéressés »

M. Hamiani a par ailleurs, saisi cette opportunité pour évoquer les «50 propositions pour un nouveau pacte de croissance économique», un document élaboré par le FCE et publié sur le site internet de la Confindustria. Selon la même source, les opérateurs italiens se sont montrés «très intéressés» par les opportunités offertes par le marché algérien, et ont loué «la stabilité politique du pays».

Au cours de cette rencontre d’une journée, les opérateurs économiques algériens auront des discussions avec leurs homologues italiens pour nouer d’éventuels partenariats dans différents secteurs d’activités. Cette rencontre intervient à un moment où les relations économiques entre Alger et Rome connaissent «une accélération sans précédent» enclenchée dans la dynamique de la tenue du second Sommet de Haut niveau du 14 novembre dernier.

Elle intervient également, à quelques jours de la visite en Algérie de quelque 140 opérateurs économiques italiens membres de l’Association italienne des constructeurs et des infrastructures (ANCE) au cours de laquelle il a été notamment, question de la création prochaine de quatre sociétés mixtes algéro-italiennes spécialisées dans le bâtiment.

 

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Mécanismes pour la protection de la propriété intellectuelle

L’Algérie se verra bientôt dotée d’un BTT (Bureau de transfert de technologies) et de mécanismes pour la protection de la propriété intellectuelle.

C’est ce que Ali Jazairy, chef du département innovation et transfert des technologies à l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), a indiqué hier, en marge de la seconde consultation de cette organisation pour la région Afrique/Moyen-Orient, Le projet, d’un montant de 450 millions de dollars, sera installé au cyber-parc de SidiAbdellah et sera financé par plusieurs organismes bancaires dont la Banque africaine de développement (BAD) et la Banque mondiale (BM).

L’accord-cadre sera paraphé cette année et sa concrétisation interviendra au bout de 26 mois. Les promoteurs du projet assignent à ce dernier, le rôle de réceptacle de tous les jeunes innovateurs qui y trouveront le cadre idéal pour concrétiser leurs idées novatrices. Ce qui permettra au pays de constituer un réseau de porteurs d’idées novatrices, un peu à la Silicon Valley aux Etats-Unis, ce pôle des industries de pointe constitué de PME de deux à trois personnes au maximum et qui servent de locomotive à l’économie américaine. Le projet participe du souci de l’Etat de rapprocher la sphère de l’innovation, de la sphère économique comme le soulignera, d’ailleurs, le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, à l’ouverture de cette manifestation de deux jours qui se tient à l’hôtel Aurassi Pas seulement ce projet puisque l’Algérie est sur le point de se doter aussi de mécanismes pour la protection de la propriété intellectuelle.

«La protection de la propriété intellectuelle est une question complexe. Ceci demande un certain nombre de mécanismes que nous sommes en train de mettre en place», a fait part Chérif Rahmani. Des mécanismes rendus inéluctables du fait, arguera Cherif Rahmani, que la non protection de la propriété intellectuelle peut créer des « dérives importantes et inorganisées, à même d’encourager fortement la création de la connaissance et de l’innovation», ce qui, tout aussi inévitablement, profitera à des économies autres que la nôtre, dira encore le ministre. «Cette rencontre est une occasion pour bénéficier des expériences des pays développés dans ce domaine, l’objectif étant de créer une infrastructure intellectuelle et scientifique de formation et de recherche qui permet d’avoir le support essentiel au développement des brevets et une économie qui puisse absorber ces brevets», a-t-il relevé.

La deuxième consultation régionale sur le transfert de la technologie dans la région Afrique et Moyen-Orient, sera sanctionnée, ce mercredi à la clôture de ses travaux, par une série de recommandations pour optimiser le transfert technologique des pays industrialisés vers les pays en voie de développement. Elle est la seconde rencontre après la première tenue en juillet dernier à Singapour, dans l’attente de la tenue de trois autres rendez-vous similaires.

 

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Formation managériale : accord de partenariat entre l’Inped et HEC Montréal

La coopération de l’Institut national de la productivité et du développement industriel (Inped) avec HEC Montréal date des années 1970.

L’Institut national de la productivité et du développement industriel (Inped) a signé, hier au siège du ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement à Alger, une déclaration d’intention de collaboration avec HEC Montréal, représenté par son directeur général, Michel Patry. Le contrat porte sur le lancement d’un projet d’accompagnement au profit de l’Inped, et ce, dans le cadre de «la mise en œuvre des politiques de redressement industriel à travers le développement et la promotion de la compétitivité des entreprises industrielles et des PME visant l’amélioration de leur positionnement sur les marchés», a indiqué le ministre Cherif Rahmani.

Un programme de formation de top management est ainsi initié par le ministère en charge du secteur au profit des dirigeants et des cadres supérieurs des entreprises industrielles. Le programme de coopération entre les deux instituts sera dirigé par Mohamed Arezki Isli, fondateur et premier directeur général de l’Inped, est-il encore précisé. A ce propos, M. Isli ne manquera pas de rappeler que la coopération avec HEC Montréal date des années 1970. Elle s’est interrompue à une certaine période, mais la conclusion de cet accord va apporter une nouvelle dynamique dans les relations entre les deux instituts et contribuera énormément à la mise en œuvre du plan de redressement, déjà en cours, de l’Inped.

Selon lui, l’accord conclu avec l’école montréalaise permettra «d’apporter des solutions aux grands problèmes relatifs à la relance industrielle, en ce sens que la formation managériale constitue aujourd’hui l’un des piliers essentiels sur lequel le plan de relance s’appuie». Pour M. Rahmani, la reprise du partenariat entre l’Inped et HEC Montréal «assurera le transfert de savoir vers nos institutions et permettra d’accompagner l’Inped dans son travail, d’autant qu’il compte lancer deux MBA, professionnel et exécutif».

 

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Nouvelle stratégie industrielle : le rapport des experts bientôt soumis au gouvernement

Le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, Cherif Rahmani, a indiqué, hier, que les conclusions du rapport élaboré par un groupe d’experts sur la nouvelle stratégie industrielle seront prochainement soumises au gouvernement.

«Le travail des experts est finalisé, mais nous devons d’abord le soumettre au gouvernement avant de le rendre public», a souligné M. Rahmani. Selon un des experts ayant pris part à ce travail, l’état des lieux chiffré établi de la situation actuelle de l’industrie nationale fait ressortir, d’ores et déjà, un constat simple : «L’industrie nationale souffre d’une crise tant au niveau du privé qu’au niveau du secteur public.» Une crise qui se traduit dans la baisse de la contribution de ce secteur au PIB puisque le taux est passé de 16% dans les années 1970 et 1980 à 4,5%, actuellement.

 

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Octroi des Crédits: L’organisation au niveau des banques fait défaut

Réunis hier dans le cadre d’ateliers sur les droits en sûreté en Algérie et des garanties préalables à l’accès au financement bancaire, les experts ont évoqué encore une fois le problème de l’organisation au niveau des banques, s’agissant de l’octroi de crédits

Pour les experts réunis hier au siège du Forum des chefs d’entreprises (FCE), l’accès au crédit bancaire représente un obstacle majeur, souvent invoqué par les entrepreneurs désireux d’engager des projets d’investissements productifs.

Ils expliqueront de ce fait «qu’une des raisons de cette difficulté se manifeste notamment à travers l’incapacité des entreprises à répondre aux exigences formulées par les banques en termes de garanties préalables pour l’obtention d’un financement.»

Pour les entrepreneurs, et si les textes existent concernant les formalités bancaires, il y a des contradictions entre certaines lois qui sont aussi selon les présents, interprétées de différentes manières. S’agissant des dernières mesures prises par le gouvernement concernant les procédures bancaires, les entrepreneurs se disent satisfaits tout en expliquant toutefois que le problème ne se situe pas au niveau des lois, mais plutôt dans l’organisation au niveau des banques. Selon les présents aussi et en raison notamment d’un système financier qui manque de performance, l’Algérie est classée dernière pour ce qui est des demandes de crédits. Ainsi en Algérie il y a dix emprunteurs pour mille habitants. Ils sont 120 en Tunisie et 700 en Turquie. L’atelier s’est aussi penché sur les conditions pratiques dans lesquelles fonctionne aujourd’hui le droit des sûretés en Algérie. Les conférenciers mettront ainsi l’accent sur le fait qu’il s’agit de l’outil que représentent les sûretés et qui est indissociable du crédit bancaire ; il désigne les différentes garanties réclamées par le créancier à son débiteur.

«Les sûretés sont donc des précautions destinées à assurer le paiement d’une dette en cas d’insolvabilité», rappellent les experts.
Concernant les droits des sûretés, les intervenants rappellent qu’une commission de révision du code civil avait formulé en 2009 des propositions pertinentes de réformes des droits des sûretés «qui méritent d’être remises sur la table et prises en considération»,
ont-ils expliqué. Pour ce qui est des garanties, il n’existe pas d’organisme professionnel pour évaluer les garanties, expliquent les conférenciers, mettant aussi l’accent sur l’absence notamment de base de données des garanties, de données des transactions faites sur le marché secondaire, et de jurisprudence des décisions déjà prises.

 

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Investissements étrangers : le FCE réclame l’assouplissement de la règle 49/51%

Le Forum des chefs d’entreprises (FCE) réclame toujours un réaménagement de la règle des 49/51% relative à l’investissement étranger, selon son président, Réda Hamiani.

«Nous ne demandons pas sa suppression, nous voulons qu’elle soit modulée selon les cas», a indiqué, hier à Alger, M. Hamiani, lors du forum du quotidien Liberté. Selon lui, cette règle, adoptée dans le cadre de la loi de finances pour 2009, «effraie» les PME-PMI qui souhaiteraient investir dans le pays et ne tient pas compte de la réalité de l’économie nationale qui devrait être «attractive» et non  «répulsive».M. Hamiani a également évoqué la répartition du capital entre l’investisseur étranger et l’associé algérien (30/70%) relatif à l’investissement commercial ou de services. «Nous somme perplexes et médusés que la réglementation favorise le commercial au détriment de l’industriel», a-t-il encore regretté. Le FCE a suggéré que cette règle soit uniquement appliquée aux secteurs jugés stratégiques, tels que la téléphonie, les banques et les hydrocarbures.

Aux dires de l’orateur, le Conseil national de l’investissement constitue un cadre idoine pour traiter au cas par cas les dossiers de partenariat entre nationaux et étrangers. A propos du taux de croissance de 2,6% enregistré par l’Algérie en 2012, le conférencier s’est dit «déçu». «C’est insuffisant. Pourtant, l’Algérie a mis beaucoup d’argent dans le développement de ses infrastructures», a déploré le président du FCE, qui s’interroge sur la capacité de l’économie nationale à absorber 350 000 jeunes qui arrivent chaque année sur le marché du travail.

Le taux de croissance devrait atteindre 3,4% en 2013 et 4,5% en 2014, selon les prévisions du FMI.
Par ailleurs, la poussée inflationniste «inquiète» aussi le FCE, selon son président. «La grosse difficulté, c’est le retour de l’inflation. Elle est en moyenne de 8%», dit-il, précisant qu’elle menace l’économie nationale. Ce retour de l’inflation est la conséquence logique, a-t-il expliqué, de la hausse des salaires en 2012. «L’Etat, afin d’acheter la paix sociale, a été extrêmement généreux. Nous avons un écart important entre la distribution des revenus et la production», a-t-il souligné, notant que les importations de l’Algérie ont augmenté de 400% entre 2000 et 2012.

M. Hamiani a rappelé que la Banque centrale, dans un effort de maîtrise de l’inflation, a opéré une ponction de 250 milliards de dinars sur le marché comme elle a exigé des banques des efforts supplémentaires en fonds propres. Reste que le marché informel alimente et accentue cette inflation. Pour M. Hamiani, la solution demeure dans l’encouragement de la production et la relance de l’industrie nationale. Évoquant enfin les sempiternels problèmes liés au climat des affaires, l’accès au foncier et au financement, le conférencier semble fonder beaucoup d’espoirs sur l’équipe du Premier ministre pour donner un coup de pied dans la fourmilière.

 

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Cap sur le redressement industriel national

La rencontre sur la production industrielle nationale aura lieu d’ici la fin du mois de février prochain, apprend-on de sources proches du dossier.Le calendrier arrêté par le ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement retient l’organisation de quatre regroupements régionaux au lieu des dix prévus initialement dans les wilayas d’Oran,  de Constantine, de Ghardaïa et d’Alger, avant la tenue, au courant du premier trimestre de l’année en cours, de la rencontre nationale consacrée à mettre en place un plan de relance industrielle et de la PME-PMI. Le constat fait par le ministère de l’Industrie sur la situation économique algérienne est très négatif.

«La situation actuelle (de la production industrielle, ndlr) est d’autant inacceptable que le marché inférieur, très porteur, est satisfait par le recours aux importations. Dans le même temps, des capacités nationales de production demeurent oisives. Il s’agit de répondre à ce paradoxe en apportant les solutions qui mobilisent l’ensemble des acteurs intervenant directement ou indirectement dans l’acte de production ; c’est là l’objet de la conférence nationale sur la production industrielle», lit-on dans la lettre adressée par le ministère aux walis.

Les rencontres régionales auxquelles prendront part les industriels locaux, les syndicalistes, les experts économiques nationaux, les institutions nationales et territoriales concernées, en plus des membres de plusieurs départements ministériels, ont pour objectif «d’informer, de vulgariser et d’impliquer les opérateurs économiques de chaque région sur la vision et la réflexion engagées par l’Etat concernant la question de la relance industrielle et de recueillir les avis des opérateurs sur tous les aspects relatifs à la promotion du tissu industriel et de la PME», affirment nos sources. «Ces rencontres constituent la première étape d’une démarche «bottom-up»

pour une écoute de proximité. Elle vise une prise en compte des préoccupations des industriels locaux pour l’appropriation d’une politique industrielle partagée et territoriale.

Elles œuvrent à la réactivation des capacités de production sous-utilisés ou oisives et ce, pour assurer une augmentation de la production», lit-on dans un courrier adressé par le ministère à l’ensemble des walis en vue de la préparation de ces rendez-vous.

La conférence nationale permettra «d’identifier les contraintes structurelles et conjoncturelles en vue de mettre en place des contrats de performance par filière avec des objectifs quantifiés». Selon le document élaboré par le ministère de l’Industrie, le gouvernement est décidé à remédier à la faiblesse économique nationale marquée notamment par «un taux de croissance de la production industrielle nationale de 0,8% et un bas niveau de contribution du secteur industriel national au Produit intérieur brut inférieur estimé à 5%».

Les facteurs qui bloquent la relance industrielle et qui «devront être levés» selon les territoires, les régions et les filières se résument en «le vieillissement des équipements, la rupture des approvisionnements, l’accès au crédit d’investissement et d’exploitation, le dysfonctionnement des utilités (électricité, gaz, eau, TIC), l’inadéquation des zones industrielles marquée par la vétusté, l’anarchie et la rétention foncière, l’accès au marché, la faiblesse de la qualité de l’innovation», lit-on dans le diagnostic résumé par le département de Chérif Rahmani, qui a dégagé une profonde réflexion sur la situation industrielle algérienne en faisant appel à des experts exclusivement nationaux.

«Il s’agit de se rendre sur le terrain pour écouter les industriels, les managers, les travailleurs, les associations des professionnels et les acteurs de l’administration locale en vue  de débloquer au plus vite la situation». A long terme, ce projet très ambitieux vise à «aider à la hausse de la production filière par filière et à la création d’un climat d’affaires favorable».

Pour les opérateurs économiques, les efforts de l’Etat doivent être orientés vers «la relance du tissu industriel dormant qui a fait le bonheur de l’industrie algérienne lors de son édification. Cette relance coûterait beaucoup moins cher que les nouveaux investissements en termes de coût et de temps. Cette relance qui garantira l’indépendance industrielle et économique de l’Algérie peut se faire à travers un programme de mise à niveau technologique et financier élaboré par une expertise algérienne».

Ils sont très «optimistes» quant à la démarche «très pragmatique» engagée par le Premier ministre Abdelmalek Sellal et le ministre de l’Industrie  Chérif Rahmani et souhaitent que cela ne se transforme pas en «une démarche d’activisme de semblant de type campagne politique, économique et sociale».

 

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Les banques ont un délai de 45 jours pour répondre à la demande de crédits d'investissement faite par les petites et moyennes entreprises (PME), indique une note d'information de la Banque d'Algérie rendue publique jeudi.

Crédits aux PME : Les banques doivent répondre à la demande dans les 45 jours

Les banques ont un délai de 45 jours pour répondre à la demande de crédits d’investissement faite par les petites et moyennes entreprises (PME), indique une note d’information de la Banque d’Algérie rendue publique jeudi.

“Dans le but d’améliorer la transparence autour des traitements des demandes de crédit introduites par les petites et moyennes entreprises, les délais de réponse doivent être améliorés de manière à ne pas excéder quarante-cinq (45) jours à partir de la date de réception par la banque de la demande de crédit», selon la note de la BA.
Cette note, adressée aux banques dans le cadre de l’amélioration des services bancaires de base décidée par le gouvernement, a été présentée par le gouverneur de la BA, M. Mohamed Laksaci, au cours d’une réunion d’information avec les PDG des banques de la place. La fixation de ce délai devrait alléger les lenteurs constatées au niveau des banques pour répondre aux deman- des de crédit introduites par les créateurs d’entreprises. Les délais et voies de recours internes aux banques et établissements financiers sont portés à la connaissance de tout demandeur de crédit, recommande la Banque centrale en matière d’allégement de l’accessibilité au crédit. Pour la BA, les mesures de facilitation préconisées par les pouvoirs publics en direction des PME «appellent les banques à mieux dialoguer» avec ces entreprises «en leur prodiguant les conseils les plus appropriés pour leur éligibilité au crédit». Ainsi, les banques et établissements financiers «doivent mettre en place une organisation efficiente» pour accompagner les créateurs d’entreprises pour leurs besoins de crédits comme pour la mise en place de services adaptés à leurs activités. Concernant les particuliers, la banque doit faire une offre préalable de crédit dans un délai n’excédant pas quinze (15) jours à compter du dépôt complet de la demande de crédit. Cette offre récapitule toutes les caractéristiques et les modalités du crédit, telles que l’identité des parties, le montant, l’objet et les modalités du crédit, le coût total des frais, le taux d’intérêt, explique la note de la BA.
L’offre préalable reste valable, à compter de son émission, pendant au moins huit (8) jours pour un crédit. Le délai commence à courir le lendemain du jour de l’acceptation de l’offre du crédit. Si le dernier jour est un jour férié ou chômé, le délai est prorogé jusqu’au jour ouvrable suivant, détaille la Banque centrale. L’emprunteur dispose alors d’un délai maximum de réflexion de huit (8) jours au cours desquels il peut accepter ou refuser l’offre du crédit. En cas de renonciation, celle-ci doit être déposée par le demandeur avec accusé de réception auprès de la banque pour que la date ne puisse pas être contestée.

Source : www.elmoudjahid.com

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Filières mécanique et pharmacie : Relance de la formation

31 établissements de formation professionnelle prendront en charge 19 000 demandes en formation et qualification dans les métiers de l’industrie.

Promouvoir la formation dans les métiers de l’industrie, c’est le principal objectif de la convention de partenariat paraphée, hier à Alger, par les ministres de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement et de la Formation et de l’Enseignement professionnels. La cérémonie s’est déroulée au siège du ministère de l’Industrie en présence de Cherif Rahmani et Mohamed Mebarki. «La convention s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des politiques de relance de l’industrie par la croissance, la compétitivité et la requalification des ressources humaines», a estimé Cherif Rahmani.

Dans une première phase, le programme, qui sera en vigueur à partir de février 2013, concernera les filières de la mécanique et de la pharmacie, puis sera étendu progressivement à d’autres filières (agroalimentaire, sidérurgie, métallurgie, électronique et manufacturière). Pour chaque filière, les actions de formation et de qualification feront l’objet de conventions spécifiques entre les établissements de formation professionnelle et les entreprises bénéficiaires. Pas moins de 31 établissements de formation professionnelle sont identifiés pour prendre en charge les besoins, environ 19 000 demandes, en formation et qualification dans les métiers de l’industrie exprimés par les entreprises, d’après le ministre de l’Industrie.

Evoquant le projet d’implantation d’une usine du constructeur Renault à Oran, M. Rahmani a souligné que le centre de formation de Oued Tlélat a été retenu pour la formation de jeunes dans la filière automobile. Selon lui, les programmes de formation seront adaptés aux besoins des activités industrielles des régions. Il citera, à titre d’exemple, la transformation de bois à Aïn Turk (Oran), la sidérurgie à Annaba, la mécanique à Constantine et l’électricité et l’électronique à Sidi Bel Abbès. De son côté, M. Mebarki a reconnu qu’outre la corruption et la bureaucratie, le manque de qualification de la main-d’œuvre constitue un «frein» au développement de l’économie algérienne. C’est pourquoi a-t-il insisté sur la nécessité d’«adapter la formation dispensée avec les besoins des entreprises».

A en croire le ministre, la convention qui s’étalera sur une période de trois années renouvelables facilitera l’employabilité et l’insertion des jeunes dans le monde du travail.

 

Source: http://www.elwatan.com

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Industrie automobile : une trentaine d’entreprises sous-traitantes retenues

Une trentaine d’entreprises de sous-traitance ont été retenues dans le cadre des projets de développement de l’industrie mécanique et automobile réalisés avec des partenaires américains et français, d’après Cherif Rahmani, ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement.

Ces PME privées, spécialisées dans la fabrication des composants, éléments et pièces de  rechange utilisés dans le machinisme agricole et l’automobile, bénéficieront «d’une mise à niveau financière et technique en Algérie et à l’étranger avec l’aide de l’expertise étrangère», a déclaré hier le ministre, cité par l’APS, en marge de la cérémonie de remise du prix algérien de la qualité.

Le développement de la sous-traitance dans la mécanique – autour de l’usine de Constantine qui fabrique des tracteurs sous la marque américaine Massey Ferguson ou de la future usine Renault – vise à limiter la facture des importations, a ajouté M. Rahmani. Au programme, des formations dans le domaine de la mécanique seront prévues au niveau des usines et des entreprises de sous-traitance, selon le ministre. En outre, «des centres de formation seront dédiés à l’apprentissage de la mécanique, et de l’automobile en particulier, où des jeunes seront formés par des experts étrangers sur les technologies et le savoir-faire», a-t-il indiqué.

A en croire le ministre, l’Algérie s’est dotée d’une stratégie de relance de son industrie mécanique «filière par filière».Une démarche qui, toujours selon le ministre, aura un impact positif sur la création d’emploi et le transfert du savoir-faire industriel. Alors que le projet algéro-américain de fabrication de tracteurs à Constantine est entré en production lundi dernier, il est prévu que le constructeur automobile Renault signe, aujourd’hui, l’accord lui permettant d’installer une usine de montage, à l’occasion de la visite en Algérie du président français, François Hollande.

Source: http://www.elwatan.com

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