PME

Forum d’affaires algéro-portugais en avril (CACI)

Un forum d’affaire algéro-portugais visant à renforcer la coopération et le partenariat bilatéral sera organisé à Alger du 20 au 23 avril prochain par la Chambre de commerce et d’industrie arabo-portugaise, annonce jeudi la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI).

Cette mission économique vise à renforcer la coopération entre les représentants des communautés d’affaires des deux pays activant dans les secteurs de l’énergie, l’ingénierie ferroviaire, la pharmaceutique et les communications et systèmes d’information, ainsi que l’agroalimentaire.

Un forum d’affaire sera organisé au siège de la CACI le 21 avril et portera sur une session plénière de mises en relations d’affaires, indique la CACI.

Lors de la troisième réunion du comité conjoint de coopération économique algéro-portugaise tenue le mois dernier à Alger, M. Chérif Rahmani, ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, avait souligné que « l’Algérie veut développer un partenariat stratégique basé sur la complémentarité économique et le transfert technique avec le Portugal ».

L’Algérie est le deuxième plus grand marché du Portugal en Afrique et le 13ème à l’échelle mondiale.

Le volume des échanges commerciaux entre les deux pays s’est établi à près de 3,3 milliards d’euros en 2012, dont plus de 800 millions d’euros d’exportations algériennes et quelque 2,4 milliards d’importations.

 

Source: http://www.aps.dz

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Avantages fiscaux pour encourager les investissements dans le sud

Le ministre du Travail, de l’emploi et de la sécurité sociale, Tayeb Louh, a souligné jeudi à Alger, qu’une réflexion suivait son cours pour l’institution de nouveaux avantages fiscaux destinés à encourager les entrepreneurs à investir dans les projets de développement au Sud du pays.

Dans une déclaration à la presse en marge de la séance plénière de l’Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, le ministre a affirmé qu’ »une réflexion était en cours actuellement pour l’institution de nouveaux avantages fiscaux et parafiscaux pour encourager les entrepreneurs à investir dans les grands projets de développement qui accusent un retard de réalisation dans les wilayas du sud ».

Ces nouveaux avantages consistant en des réductions des charges sociales et des impôts visent à encourager l’investissement créateur de richesses dans la région, et contribueront, dans une large mesure, à créer des postes d’emploi.

Le ministre a ajouté que certains walis des régions du Sud avaient exprimé leur préoccupation quant à l’insuffisance de moyens de réalisation des projets de développement, d’où les retards enregistrés dans la réalisation de ces projets.

Ces nouvelles mesures sont de nature à contribuer à faire avancer la réalisation de ces projets, notamment dans les secteurs des travaux publics, des investissements dans l’agriculture et pour la création de postes d’emploi, a conclu le ministre.

 

Source: http://www.aps.dz

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Des investissements pas comme les autres

L’investissement dans les « activités innovantes » qui pourraient ouvrir de nouveaux horizons aux jeunes et moins jeunes, porteurs de projets, prend de plus en plus de place, dans le secteur de l’industrie de transformation de la wilaya de Constantine.

Ces activités commencent à attirer l’attention des spécialistes, des décideurs et aussi des médias. Et c’est ainsi que les animateurs de l’émission « Indices économiques » de la radio régionale lui ont consacré leur dernière édition, diffusée samedi dernier. Emission dont les concepteurs militent pour le développement de l’esprit d’entreprenariat. Ils ont invité sur le plateau les responsables de l’agence locale de la Caisse nationale d’assurance chômage (CNAC) et des membres du CALPIREF, à côté de deux investisseurs qui ont exposé leurs expériences, l’un dans le domaine de l’élevage de l’escargot et sa transformation en matières premières destinées aux industries cosmétique, pharmaceutique et alimentaire et, pour le second, dans le domaine de la photogravure au laser.

Les deux entrepreneurs ont exposé, en détail, leurs expériences respectives. Et dans ce cadre, c’est l’activité d’élevage des escargots, par son originalité, sa rentabilité et les facilités de production qu’elle offre, qui a retenu l’attention des participants ainsi que des auditeurs.

C’est M. Boumahrat Makram, jeune investisseur qui s’est lancé dans cette aventure d’élevage et de transformation de l’escargot, depuis 2003, qui a pris le soin d’expliquer d’abord son expérience en la matière et mettre ensuite en exergue les bienfaits de cette activité en exposant en détail le processus de production.

«On peut considérer l’industrie de transformation de ce mollusque à trois niveaux, commença-t-il : en tant que produit alimentaire très prisé dans les pays développés, comme matière première entrant dans la fabrication de produits esthétiques et enfin dans les produits pharmaceutiques à cause des huiles qu’on peut tirer du traitement de sa viande. A l’heure actuelle, 95% de notre production, réalisée dans la wilaya de Constantine, sont exportés vers des pays comme l’Italie et l’Espagne. Le ramassage de l’escargot est facile, surtout au printemps et en été où il prolifère. Au début, nous vendions le quintal d’escargots entre 6 et 7 millions de centimes. Aujourd’hui, un seul kilo est négocié entre 900, 1.100 et parfois jusqu’à 1.200 dinars. Nous utilisons des équipements simples qui ne coûtent pratiquement rien.

Et la meilleure qualité du produit est réalisée dans la wilaya de Constantine où le niveau de production est fort. Un kilo de mollusques élevé pourra produire entre 50 et 150 kg, cela dépend de la méthode et de l’humidité du milieu car l’escargot a besoin de beaucoup d’eau pour gonfler. Des ramasseurs font la cueillette et nous fournissent la matière. C’est aussi un domaine où les marges bénéficiaires sont très grandes».

Il terminera son exposé en signalant que des investisseurs opèrent dans ce créneau dans les wilayas de Mila, El-Tarf, Jijel, Skikda et Blida.

«Presque toute la production nationale est écoulée en Tunisie», dira-t-il encore. «Cette industrie nouvelle participe pour environ 40 % dans l’économie de la Tunisie. Et dans l’avenir nous allons nous tourner vers le pays pour proposer notre production dans le secteur touristique, notamment dans les nouvelles infrastructures hôtelières. C’est un domaine où les marges bénéficiaires sont très grandes, où il n’y a jamais de déficit et où le chiffre d’affaires peut atteindre jusqu’à 700 millions de centimes par saison ! ».

Convaincu, M’cellef Ahmed, directeur de la CNAC et membre du Calpiref pense qu’il faut sortir l’investissement du cercle de transports, bâtiment et services. « Nous nous orientons maintenant vers la qualité et la pérennité de l’entreprise en innovant, dit-il. Nous encourageons aussi la photogravure au laser sur divers supports, surtout le cristal qui est un produit facile et innovant, qui peut être appliquée dans plusieurs domaines, notamment le tourisme, la publicité, la médecine, etc ». Et le second entrepreneur, M. Lezzar, d’intervenir pour parler de son expérience dans le secteur de pointe qu’est la photogravure par laser où le lancement de son entreprise a été fortement encouragé par la CNAC, dit-il. Mais il ne suffit pas de produire, il faut aussi écouler la production. Et à ce titre, les participants ont longuement évoqué le manque de maîtrise des techniques du marketing.

 

Source: http://www.lequotidien-oran.com/

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Constantine: Un plan de charge pour les micro-entreprises

Lors d’une réunion de l’exécutif, tenue samedi dernier, le wali de Constantine a affirmé la nécessité de l’application effective de la décision du gouvernement de consacrer 20% des projets pour les micro-entreprises créées dans le cadre des dispositifs d’aide à l’emploi, ANSEJ, CNAC et Angem.

Selon un communiqué de la wilaya, reçu hier à la rédaction, le chef de l’exécutif, Nouredine Bedoui, a insisté sur ce point d’intégration des micro-entreprises notamment celles spécialisées dans la voirie et les réseaux divers (VRD), en considération que ces dernières auront pour effet d’imprimer un rythme accéléré à la réalisation des projets d’habitations comme de tous les autres projets de construction.

Et pour ce faire, les responsables des secteurs en question ont été invités à établir un fichier actualisé des entreprises activant dans leurs secteurs respectifs.

Le chef de l’exécutif a considéré que le fichier actualisé portant le détail des capacités de chacune des entreprises ainsi que ses chantiers, permettront aux autorités de mieux apprécier la situation pour mieux répartir les plans de charges. De même que ce fichier permettra à l’administration locale, de prévoir des plans de charge des PME, créées dans le cadre des formules de l’ANSEJ, l’ANGEM et la CNAC et de mieux veiller à la stricte exécution du décret présidentiel 12-23, du 18 janvier 2012, recommandant de réserver, prioritairement et exclusivement, 20% de leurs commandes aux dites petites entreprises.

Le wali a également indiqué que l’incorporation de ces PME dans les chantiers aura un double avantage: elle permettra de donner du travail aux PME, d’une part, et d’alléger le fardeau de certaines entreprises de réalisation qui se trouvent débordées. Dans ce sillage, le secrétaire général de la wilaya, M. Aziz Benyoucef, a invité les micro-entreprises «d’être à l’écoute car des appels à consultation seront lancés incessamment et graduellement jusqu’à intégrer toutes ces PME, à l’instar de ce qui a été fait pour les PME versées dans l’hygiène et les espaces verts».

Et de rappeler que celles-ci, ont actuellement des plans de charge et sont intégrées dans la réalisation de projets avec les différentes mairies de la wilaya.

 

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Les Turcs veulent prendre des participations dans des EPE de textile

Les visites d’hommes d’affaires turcs en Algérie sont désormais organisées par secteur d’activité. L’ambassade de Turquie en Algérie a changé son mode opératoire.

«Les délégations multisectorielles se sont avérées infructueuses. Nous avons conclu qu’il faut cibler des créneaux où nos entreprises ont des chances de décrocher des marchés», a expliqué Erhan Karakoç, attaché commercial adjoint de la mission diplomatique turque. Hier à l’hôtel Sofitel d’Alger, une rencontre «B to B» s’est tenue entre des exportateurs turcs de produits électro- technologiques et des acheteurs potentiels algériens. Cette mission commerciale a vu la participation de 13 PME turques opérant dans les domaines de câblerie, les énergies renouvelables, la fabrication de transformateurs et générateurs, etc. A savoir, 2M Cable, Demas Cable, Hes Cable, Fiule Cable, Turkuaz Cable, Erse Cable, EAE Elektronic Inc., Elektra Elektronik INC., Emek Electrical Industry INC., Entes Electronic, Europower Energy CO., Federal Electric, Istanbul Energy et Ugur Türkyurt INC.

Une centaine d’entreprises algériennes, Sonelgaz et Mobilis entre autres, ont été invitées à déléguer des représentants. Bref, la Turquie, a indiqué le conseiller commercial de son ambassade à Alger, s’est fixé l’objectif de doubler dans cinq ans les échanges commerciaux avec l’Algérie, actuellement de l’ordre de 5 milliards de dollars, dont deux milliards d’exportations et trois milliards d’importations, essentiellement de GNL. «Dans un premier temps, les exportateurs de produits électro-technologiques présents veulent commercer», a-t-on précisé. Et de souligner sur un autre plan, que les investissements directs turcs en Algérie ont atteint 1 milliard de dollars américains avec la signature jeudi dernier par Tosyali, d’un contrat avec l’ANDI pour le montage d’une usine d’acier et de fer pour un montant de 300 millions USD. Une usine qui s’ajoute à celles déjà en activité, celle de l’agroalimentaire à Constantine (Bifa) et celle des détergents à Blida (Hayat). D’autres investisseurs turcs démarchent toujours l’Etat algérien pour investir dans d’autres créneaux.

Ainsi, l’on apprend qu’un grand industriel du textile est en négociation avec les autorités algériennes pour une prise de participation dans deux entreprises publiques de textile, l’une installée à Annaba et l’autre à Relizane. Les diplomates présents à cette rencontre «B to B» ont évité de révéler le nom de l’industriel turc. «L’annonce sera faite quand les négociations auront abouti», s’accorde-t-on à dire. La visite du ministre turc de l’Economie, qui se prépare à pied d’œuvre, de part et d’autre, pourrait être riche en matière d’accords.

 

Source: http://www.lesoirdalgerie.com

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ISSAL, Cloud Service Provider pour entreprises algériennes… dans les «nuages» et à Oran

Le « Cloud Computing » ou « l’informatique dans les nuages », un concept récent qui permet l’accès à des ressources Data hébergées dans des serveurs, fait ses premiers pas en Algérie. ISSAL, le premier CSP (Cloud Service Provider) du pays, qui représente de prestigieux acteurs du Web comme Google, lance son propre Data-Center pour les entreprises et les administrations.

Une première offre locale de service Cloud Computing a été mise sur le marché par l’ISP (Internet service Provider) algérien ISSAL. « Nous n’avons rien à envier à des entreprises qui offrent des services Cloud et de hosting (hébergement, ndlr) un peu partout dans le monde. Nous sommes installés à Oran et représentons des noms prestigieux comme Google ou Asigra. D’autres noms tous aussi prestigieux viendront compléter notre offre », explique à Maghreb Emergent/ Le Quotidien d’Oran, Zine Seghier, Manager Général de ISSAL. Pour lui, le Cloud n’est assurément pas un phénomène de mode et il ne s’agit nullement de technologie « mais de business process ». Selon la définition faite sur le site Web de ISSAL, le Cloud Computing est la mise à disposition de systèmes, d’applications ou de données hébergées dans un Data-Center hautement sécurisé, et les rendre accessibles de partout via Internet. C’est également la possibilité de consommer des services informatiques à la demande à travers Internet sans avoir à se soucier de problèmes d’infrastructures, de maintenance, de mise à jour et de sécurité. Notre interlocuteur définit son entreprise comme un ISP « dûment agréé par l’ARPT » dont le service ne se cantonne pas uniquement à l’accès. « Nous avons un modèle économique un peu différent de celui de nos collègues. Ils font un très bon travail chacun dans son domaine et sont particulièrement spécialisés. Nous croyons par ailleurs fermement en un système de “compétition” où justement un véritable écosystème est mis en place entre les différents acteurs ce qui leur permet de coopérer ensemble tout en étant concurrents », explique-t-il plaidant pour une mutualisation de l’infrastructure de l’opérateur historique Algérie Télécoms à l’image de celle des MVNO dans le monde de la téléphonie mobile. Zine Seghier croit en l’avenir du Cloud en Algérie. Car, dit-il, « nos entreprises ont les mêmes besoins que toutes les entreprises du monde entier ». « ISSAL est un des rares CSP dans le monde Arabe et dans le continent. Nous avons investi dans une des plateformes les plus modernes de l’industrie et nous avons un Data-Center totalement virtualisé basé dans le pays et au service de nos entreprises », explique-t-il.

Un marché de Cloud à créer

L’offre actuelle s’adresse aux entreprises et « va s’étendre graduellement au marché de masse avec des offres bien spécifiques », promet-il. Si notre interlocuteur croit dur comme fer en un marché local, c’est parce qu’il estime que l’utilisation d’un stockage de données au sein même de l’entreprise n’a plus beaucoup de sens. Selon lui, avec le flux d’informations qui circulent, les moyens de stockage habituels ne sont d’aucune utilité. Parce qu’ils ne font que dupliquer les données de l’entreprise. « Et si un fichier corrompu est dupliqué vingt fois, ça nous donnera vingt fichiers corrompus ! Ensuite vient la restauration. Si ce même fichier devait être restauré, la catastrophe est assurée », dit-il encore, tout en rappelant que plus de 80% des entreprises qui perdent leurs données déposent le bilan dans les deux années qui suivent la catastrophe. Pour lui, les entreprises ont aujourd’hui, grâce au Cloud, la possibilité de sauvegarder leurs données, de dupliquer leurs ressources informatiques, et d’optimiser leurs propres ressources. Quelles sont les garanties du Cloud ? Selon notre interlocuteur, cette grande question peut trouver une réponse dans la virtualisation, le propre du Cloud, qui permet de dispatcher les données sur plusieurs serveurs et donc difficiles à saisir dans leur intégralité. Il rappelle, à ce propos, qu’une des plus grandes banques mondiales classée dans le top 10 et avec plus de 100,000 employés à travers le monde utilise Google Apps. De même pour l’un des plus grands fabricants d’accessoire automobiles, qui compte plus de 30,000 employés, ou un des plus gros pétrochimistes avec près de 20,000 employés. Il rappelle aussi qu’ISSAL est le représentant de Google Entreprise ou « Reseller for Enterprise » qui travaille dans la protection des données de l’entreprise, avec la mise à disposition de la plateforme de Cloud VPS.

 

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Le Cloud Computing arrive en Algérie par Oran

A l’heure où les technologies du haut débit mobile tarde à s’installer en Algérie, et où les dirigeants des entreprises de ce pays sont de plus en plus méfiants à l’égard des processus d’intégration des outils du numérique dans la gestion des moyens de fonctionnement, le Cloud Computing (littéralement : l’informatique dans les nuages) arrive silencieusement dans l’environnement des services informatiques algériens. Le fournisseur d’accès aux services d’Internet Issal est devenu historiquement le premier «Cloud Services Provider» algérien. A partir de la possibilité de disperser un système d’information sur des serveurs multiples à forte capacité et accessibles sur Internet via des liaisons à haut débit, cette compagnie oranaise a mis au point la première solution de dématérialisation des salles informatiques basée sur un Cloud privé.

Baptisée iSV (Issal Secure Vault), cette prestation informatique vise à permettre aux entreprises, dépourvues des gros moyens de stockage sécurisé et surtout de la culture de la protection des données, de bénéficier en ligne des ressources software virtuellement illimitées en capacité de mémoire et en puissance de calcul grâce à la technologie Saas (Software as a Service) et sans obligation d’achat de licences. Le résultat est assez étonnant. Issal a implanté, à Oran, le premier data-center de l’histoire de l’informatique en Algérie, dans le but de donner la possibilité aux sociétés d’éliminer le risque de voir leurs données disparaître en utilisant le procédé d’externalisation de leurs infrastructures voire leurs logiciels. Pour Zine Seghier, DG d’Issal, le Cloud Computing n’est plus un buzzword technologique, mais est devenu une nécessité pour des compagnies parmi lesquelles des assureurs, hébergeurs de sites web, concessionnaires d’automobiles et opérateurs des télécommunications.

Pour le fondateur d’Issal, il n’y a plus de raisons qui justifient que hébergeurs fassent la promotion du .com et au payement au black des serveurs localisés hors des frontières du pays. Son entreprise qui dispose désormais d’un data-center aussi performant et sécurisé que ceux utilisés par les leaders du providing dans le monde et d’un réseau électrique ultramoderne, cherche donc à inverser la tendance de l’achat des domaines. Il veut inciter les PME du pays à imiter Google et faire confiance au .dz. Issal qui va devenir la seule marque qui optimise la consommation de la bande passante internationale d’Algérie Télécom.

 

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Nedjma signe avec l’Agence de développement de la PME

Le premier pas du partenariat pour l’innovation et le soutien technologique à l’entreprise (PISTE) vient d’être lancé par le biais d’une convention liant Nedjma et l’Agence nationale de développement de la PME (ANDPME). En effet, l’opérateur Nedjma répond favorablement, pour la prise en charge d’une partie du programme de développement des outils technologiques et à l’aide à l’innovation des porteurs de projets et futures start-up. C’est dans cet objectif que la convention a été signée, hier, à l’hôtel Aurassi, entre le groupe Nedjma et l’ANDPME, en présence d’un parterre de chefs d’entreprises et des présidents d’associations patronales. A l’issue de la cérémonie, le DG de Nedjma a indiqué que «ce partenariat s’articule autour de deux volets : l’un visant à soutenir, dans le domaine des TIC, les entreprises existantes et un second volet visant à promouvoir la création et la croissance de start-up innovantes par les jeunes algériens». Le DG de l’ANDPME, Rachid Moussaoui, dira pour sa part qu’il s’agit «de l’appropriation de logistiques de la plate-forme T-Start et I-Start». Ces deux applications touchent ainsi au réseau Internet, l’intranet et l’extranet, la sauvegarde des données, le business intelligent et l’e-commerce. Un éventail de services qui sera mis à disposition de ces entreprises (existantes et celles en devenir)».

Joseph Ged, patron de Nedjma donne plus de précisions sur cette initiative qui vise, selon lui, à «des services qui se déclinent en solutions technologiques adaptées aux besoins des entreprises». Il n’est plus besoin d’acheter ces plates-formes technologiques coûteuses puisque Nedjma va les héberger et les commercialiser à des prix réduits. L’opérateur de téléphonie mobile et des services multimédia va garantir, dans le même sillage, la promotion du domaine dz, ce qui va certainement réjouir les entreprises locales qui étaient obligées d’être hébergées chez des fournisseurs étrangers. Et c’est là que Réda Hamiani, président du FCE s’est félicité de l’utilité de cette démarche qui, selon lui, « va réduire la fracture numérique, tout en aidant à un accès plus significatif à l’Internet». Les entreprises sont concernées directement par un apport de l’innovation qui va améliorer leur compétitivité. Le ministre de l’Industrie, Chérif Rahmani a exprimé également sa satisfaction en considérant que «ce partenariat n’est qu’une partie du programme de la stratégie du gouvernement, en matière de développement et la généralisation des technologies d’avenir pour les entreprises publiques et privées».

 

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Amélioration de l’Environnement des Affaires

Des propositions concrètes visant l’amélioration de l’environnement des affaires en Algérie seront finalisées d’ici le mois de mai 2013.

Devant être maturées au niveau de onze commissions spécialisées, représentatives de l’establishment économique, institutionnel et opérationnel, ces propositions devraient contribuer à améliorer le climat d’affaires en Algérie. Un climat que le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement (MIPMPEPI), Chérif Rahmani, avait même reconnu «peu favorable », tout en exprimant la volonté gouvernementale d’œuvrer à faciliter l’acte d’investir et d’entreprendre, stimuler la relance industrielle, et par-delà d’améliorer le classement Doing Business de la Banque mondiale de l’Algérie, classée 153e à l’échelle mondiale sur plus de 180 économies. Concrétisée par la mise en place dimanche dernier d’un comité ad hoc, cette volonté a été accueillie avec satisfaction par les responsables d’associations et organisations patronales nationales, présents hier à l’hôtel El Aurassi à l’occasion de la signature d’une convention de partenariat spécifique et opérationnel entre l’Agence nationale du développement de la PME et l’opérateur de téléphonie mobile Wataniya Telecom Algérie (WTA-Nedjma). A charge, cependant, d’une réactivité, d’une implication réelles tant des entreprises que de l’administration, comme le relèvera le président du Forum des chefs d’entreprises (FCE), Réda Hamiani, au-delà des autres considérations mises en avant par d’autres dirigeants économiques. Comme il s’agit de stimuler la créativité, l’innovation et l’intégration des technologies de l’information et de la communication, des critères déterminants au demeurant pour l’amélioration du climat d’affaires. Et c’est dans ce cadre que l’ANDPME, qui relève du MIPMEPI, et Nedjma ont signé une convention établissant un Partenariat sur l’innovation et le soutien technologique aux entreprises (Piste). Voulu «stratégique» et modèle de synergie entre les secteurs publics et privés, ce partenariat porte sur le soutien tant des entreprises naissantes et innovantes que des entreprises existantes engagées dans un processus de modernisation, en matière de formation, consulting et coaching ainsi que la mise à disposition de plateformes de services de télécommunication et d’applications. A ce titre, Nedjma s’engage à développer l’offre de services, de plateformes et applications technologiques, en participant à l’identification des entreprises, l’incubation de projets des jeunes, la réduction des coûts d’équipement, l’amélioration de la compétitivité et la création de valeur ajoutée et d’emplois. Voire le développement d’un «made in Algérie» dans le domaine technologique et numérique, la promotion de l’e-économie et du e-commerce. Notons que ce partenariat bénéficiera d’un financement «au fur et à mesure», dira Chérif Rahmani, dans le contexte où l’ANDPME, en charge d’un programme de modernisation des PME qui est doté de 386 milliards de dinars, est appelée à développer une démarche de proximité et rapprochement avec les entreprises.

Généralisation des TIC dans le Sud: Nedjma s’implique

L’opérateur de téléphonie mobile Wataniya Telecom Algérie (WTA-Nedjma) compte participer au programme de généralisation des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans les régions du sud du pays. C’est ce que le directeur général de Nedjma, Joseph Ged, a indiqué hier à l’hôtel El Aurassi, formulant la volonté de son entreprise à développer le made-in algérien dans le domaine des TIC. Mais aussi l’adhésion de WTA au programme national lancé par l’exécutif et visant le désenclavement numérique des habitants du sud du pays en termes d’accès à l’Internet, diversification de l’offre de télécommunications, amélioration de la créativité entrepreneuriale et développement socioéconomique effectif. A ce titre, l’opérateur est disposé à accompagner les start-up, les entreprises et les utilisateurs des TIC en leur fournissant des solutions et applications technologiques et numériques.

 

Source: http://www.lesoirdalgerie.com

Voir aussi: http://www.pme-dz.com/nedjma-signe-avec-lagence-de-developpement-de-la-pme/

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ANSEJ – Bureau international du travail: Convention pour développer la formation

L’Agence nationale de soutien à l’emploi de jeunes de la wilaya d’Oran vient de se lancer dans la formation de ses cadres. Un perfectionnement qu’elle juge indispensable pour pouvoir par la suite orienter et accompagner les nouveaux porteurs de projets. Une convention allant dans ce sens a été signée dernièrement entre le Bureau international du travail et les cadres de l’agence.

Cette nouvelle vision va permettre, selon M. Nehila, directeur par intérim à l’ANSEJ d’Oran, de recycler les formateurs afin qu’ils puissent accompagner les jeunes porteurs de projets dans différents domaines liés au management des entreprises, à la gestion et à la recherche de la compétitivité. Le but assigné d’une telle action, selon notre interlocuteur, est de faire bénéficier ces porteurs de projets de tous les aspects techniques édictés par la réglementation, maîtriser l’environnement dans lequel ils exercent et surtout concrétiser leurs objectifs. Un défi que les responsables tentent de concrétiser à travers ces mesures d’encouragement et de facilitation. Pour cette année, l’Agence compte généraliser les crédits à d’autres secteurs d’activités dont la création de PME et PMI.

Des aides qui permettront aux porteurs de projets de créer de l’emploi et de prendre part aux différents projets de l’Etat puisqu’ils ont désormais droit aux 20% des projets inscrits par les pouvoirs publics au profit du secteur public. La formation et le perfectionnement de toutes les parties concernées s’imposent d’eux-mêmes, explique-t-on. Parallèlement à cette mise à niveau du personnel, l’agence a mis en place une cellule d’écoute et d’orientation. Des cadres chargés de recevoir les demandeurs de crédits ont été désignés pour mieux faciliter la prestation de service. Ces agents de communication auront pour mission l’orientation et la prise en charge des doléances des jeunes. Plusieurs journées de sensibilisation sur ces mesures d’accompagnement ont été organisées depuis le début de l’année dans le but de mieux vulgariser les différents dispositifs instaurés par l’Etat en direction des demandeurs de crédits.

 

Source: http://www.lequotidien-oran.com

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