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Illizi : ouverture de la 1re Foire internationale

Evénement économique très attendu par le grand public du Tassili, la 1 ère édition de la Foire internationale de la wilaya d’Illizi a été inaugurée, mardi, par le secrétaire général de la wilaya.

Cette importante manifestation économique, qui s’étalera jusqu’au 21 janvier, accueille des exposants venus de Syrie et d’Iran. La participation nationale est quant à elle représentée par diverses entreprises des secteurs public et privé venues de 11 wilayas du pays. Il s’agit d’un rendez-vous économique de taille qui constitue, une opportunité pour les professionnels d’échanger leurs expériences, d’examiner les opportunités d’affaires, de nouer des partenariats d’investissement dans différents secteurs dont les services, l’agroalimentaire, l’emballage, le médicament, les cosmétiques, l’ameublement, la décoration, la confection textile, la maroquinerie, la bijouterie et l’artisanat. Les représentants de ces entreprises ont mis l’accent sur le fait que cette manifestation est aussi une opportunité pour mieux faire connaître le marché régional du Tassili et permettra au public de découvrir les variétés industrielles et économiques du pays.

 

Source: http://www.elwatan.com

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Algérie-Espagne: signature accords de coopération

L’Algérie et l’Espagne ont signé jeudi plusieurs  accords de coopération et mémorandums d’entente concernant de nombreux domaines  et secteurs, en présence du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika  et le président du gouvernement espagnol, M. Mariano Rajoy, en visite officielle en Algérie.

La cérémonie de signature de ces accords a eu lieu au siège de la présidence de la République. Il s’agit d’un protocole d’accord sur la coopération industrielle et la promotion du partenariat, de trois mémorandums d’entente dans les domaines de la coopération énergétique, la facilitation d’attribution de visas et de coopération culturelle, ainsi qu’un accord administratif relatif à la coopération dans les domaines scientifique, technologique et de la protection civile.

Les deux pays ont procédé, par la même occasion, à la signature de plusieurs autres accords de coopération liés notamment aux domaines du logement, de la construction de contacteurs, la papeterie, la fabrication de chaussures et la création d’un centre de développement du textile.

 

Source: http://www.elwatan.com

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Colloque économique Algérie (Nanterre, France)

«Un partenariat concret et réel, sur des secteurs stratégiques»

« Pour une véritable coopération économique » tel est le thème de la 2ème édition du colloque Algérie, organisée par l’association pour la coopération franco-algérienne (Acfa92) sous le patronage du consulat d’Algérie, tenue lundi à la salle des congrès de l’hôtel de ville de Nanterre.

«La balle est dans le camp de nos amis français » a déclaré, en préambule à son intervention, M. Boualem M’rakach, le président de la confédération algérienne du patronat, pour préciser que les opérateurs économiques de l’Hexagone n’ont aucun prétexte pour venir investir en Algérie. Concernant le 49/51 que ces derniers mettent avant comme une embûche à tout investissement en Algérie, M. M’rakach a souligné que « ce n’est pas pour sanctionner qu’on impose cette « option » Il y a beaucoup d’avantages dans ce 49/51, il faut seulement le découvrir. Et puis, cela existe dans 32 pays du monde. Pour nous, il n’existe pas de sujets tabous, on est prêt à tout mettre sur la table. Il y a, c’est vrai, des difficultés, mais il y a aussi des difficultés supposées. Au niveau des ateliers, les différents opérateurs ici présents ont tout le loisir d’en discuter. M. Gérald Chartier, spécialisé dans l’hôtellerie et la restauration (des investissements ont été réalisés dans ce sens à Constantine) appuiera nettement cette idée. « Si on veut travailler dans un pays, il faut se plier à ses règlements »

Pour Jean-Luc Duhamel, président de la confédération du patronat des petites et moyennes entreprises du 92 « C’est vrai, les opérateurs français ne sont pas habitués à laisser la majorité, d’où des réticences; mais je vous le dis, il ne faut pas s’arrêter à ça. Notre métier, ce n’est pas de dire « c’est impossible », mais de valider des projets concrets, costauds. Je suis tellement optimiste pour ces partenariats que je pars en Algérie très prochainement pour un projet concernant l’eau (des machines de récupération de l’humidité pour la production de l’eau potable) »

Mounir Gaouar, industriel franco-algérien, à qui revient l’initiative de l’organisation de ce colloque, a indiqué pour sa part que «que ce colloque a permis la rencontre des fédérations françaises et du patronat algérien, de recevoir les besoins des PME algériennes et leur proposer des PME françaises, nous avons également présenté des sociétés internationales, notamment belges à la confédération nationale du patronat (algérien) Nous sommes pour la création de joint venture pour le transfert de technologie et de savoir faire, parce que nous sommes contre le fait qu’on considère l’Algérie seulement comme un marché. Cela ne nous intéresse pas. Nous avons également emmené à Alger des délégations internationales, des Allemands et des Polonais. Et pour la prochaine étape, nous emmènerons en Algérie une importante délégation d’entreprises internationales spécialisées dans les secteurs clefs, comme le BTP, les TIC… Nous créerons à cette occasion un institut de la formation professionnelle. Pour moi personnellement, je me suis remis sur le marché algérien dans les domaines de l’agro-alimentaire et le prêt-à-porter, et nous avons le droit d’être optimistes parce que nous possédons tous les atouts pour relancer le partenariat gagnant- gagnant entre les deux pays… »

 

source : http://www.elwatan.com

 

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hamid fassouli

la SGP Indjab signe un accord de création de sociétés mixtes

La Société de gestion des participations (SGP) Indjab a signé, hier à Alger, un protocole d’accord de création de sociétés mixtes algéro-espagnoles avec deux sociétés espagnoles, à savoir Ortiz et Assagnia.
Selon Hafid Fassouli, président du directoire de la SGP Indjab, «cet accord s’inscrit dans le cadre de la réalisation du principal objectif, qui est celui d’améliorer les conditions de réalisation de logements». Ce partenariat se traduira par un «transfert de technologies et de savoir-faire», par la formation du personnel algérien et par la qualité de réalisation des logements, affirme encore M. Fassouli.

Plus globalement, elles sont quatorze entreprises espagnoles à avoir exprimé officiellement leur intention de signer des accords de partenariat avec des entreprises de construction algériennes, «selon le dispositif algérien imposant la règle des 51/49%», a précisé le président d’Indjab. Pour l’heure, ce sont les deux premières sociétés qui ont entamé la procédure d’officialisation, en attendant que les autres suivent l’exemple «après qu’elles aient terminé l’étude de tous les aspects techniques». M. Fassouli ne manquera pas de rappeler que la SGP Indjab a déjà signé un accord pour la création de sociétés mixtes avec deux entreprises portugaises, suite au protocole d’entente paraphé par le secrétaire d’Etat portugais et le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, Abdelmadjid Tebboune, portant sur l’installation en Algérie de sociétés portugaises dans le domaine de la construction de logements et le transfert de leur savoir-faire à travers des entreprises mixtes.

«Actuellement, nous sommes en train de concrétiser le même projet avec des entreprises américaines et un procès-verbal sera signé incessamment pour la réalisation de logements avec une ou deux sociétés américaines», a souligné encore M. Fassouli. Et de rappeler que le nombre de logements à réaliser retenu est de 50 000 pour chaque partenaire. Quant à la forme de partenariat, le responsable d’Indjab a précisé que «les société mixtes auront un capital numéraire avec un apport en nature à la charge du partenaire qui devra ramener avec lui une usine de construction pour l’installer en Algérie».

 

Source : El Watan

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La filière agroalimentaire à la recherche de partenariats

Programme de renforcement des capacités des Pays Arabes

Avec un volume avoisinant 40% du produit intérieur brut (PIB) et 1,6 million d’emplois assurés, la branche agroalimentaire a de quoi bien se porter. Les acteurs de la filière se concertent dans le cadre du programme EnACT qui regroupe l’Algérie, l’Égypte, la Jordanie, le Maroc et la Tunisie.

En réunissant, hier, des entreprises des cinq pays membres de l’EnACT, le Centre du commerce international a ouvert le débat sur les opportunités d’échanges et de partenariats. C’est dans cet esprit que se tient le forum régional. Il offre aux entreprises activant dans le domaine de l’agroalimentaire d’explorer la possibilité d’étendre leur champ d’intervention et de se laisser tenter par de nouveaux marchés.
Le secrétaire général du ministère du Commerce, présent à cette rencontre, a rappelé que le programme EnAct de renforcement des capacités commerciales des pays arabes permettra d’examiner toutes les possibilités de partenariat rappelant qu’il était un exemple de  coopération réussi au niveau. Le Canada, qui soutient cette initiative, a, par la voix de son ambassadeur, rappelé tous les avantages qu’offre le programme en question, soulignant toutes les opportunités qui peuvent être saisies puisque le Canada a des besoins en matière de fruits et de légumes, par exemple, sachant que la production au Canada n’est possible que pendant quelques mois à cause du climat.
L’ambassadeur du Canada croit en une possibilité de l’accroissement du partenariat avec les pays de la région Mena. Depuis l’Algérie, le Canada importe déjà des eaux minérales, du sucre, des dattes et des vins et n’écarte pas la possibilité de rallonger cette liste.
Les participants au forum régional ont, quant à eux, eu deux jours pour prendre connaissance des opportunités qui s’offrent à eux à travers des discussions concrètes et pratiques notamment au sujet de la possibilité de nouer un partenariat avec la Turquie en tant que hub régional pour la promotion des exportations vers les pays d’Asie centrale. Ils ont également pris part à un atelier sur l’adaptation des produits et le marketing des produits agroalimentaires pour l’exportation vers le marché nord-américain.

 

Source : Le Soir d’Algérie

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Coopération Algéro-qatarie

Création d’une société mixte de sidérurgie

L’Algérie et le Qatar ont paraphé, hier, un accord pour la création d’une société mixte de sidérurgie.

L’annonce a été faite hier par le ministre qatari de l’Economie et des Finances, Youcef Hussein Kamel, en visite à Alger à l’occasion de la tenue des travaux de la commission bilatérale algéro-qatarie. Il y a lieu de rappeler qu’un mémorandum d’entente avait été signé entre les deux pays, début juillet dernier, pour la réalisation d’un complexe sidérurgique dans la zone industrielle de Bellara, à Jijel, d’une capacité globale de 5 millions de tonnes/an. Le document avait été signé par le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, Mohamed Benmeradi, et le ministre qatari de l’Economie et des Finances. Au départ, le futur complexe sidérurgique de Bellara produira 2,5 millions de tonnes d’acier/an, avant de passer à 5 millions de tonnes/an.

L’usine en question fabriquera notamment de l’acier plat et des aciers spéciaux qui serviront à développer l’industrie du rail en Algérie. Notons que la demande algérienne en produits sidérurgiques est de 5 millions de tonnes/an. Le pays en importe chaque année l’équivalent de 10 milliards de dollars, soit près de 20% de sa facture d’importation globale.
Pour ce qui est du partenaire qatari, les spécialistes affirment que, comparée à d’autres sociétés d’acier, l’avantage de Qatar Steel consiste dans le fait que ses pôles de production sont basés sur la réduction directe, qui utilise des énergies plus propres.
Pour Réda Amrani, consultant en économie industrielle et expert en sidérurgie, ce futur complexe devrait permettre, entre autres, de «résorber le déficit actuel en produits de sidérurgie, renouveler les gazoducs et développer le rail».

L’expert, qui regrette que l’Algérie n’ait pu développer toute seule son industrie sidérurgique dans les années 1980, pense que «le partenaire qatari est tout de même en mesure d’apporter un plus au savoir-faire algérien dans ce domaine, notamment pour ce qui est de la modernité des équipements, mais surtout de la commercialisation et du marketing». A ce propos, M. Amrani fait remarquer que l’industrie sidérurgique algérienne est aujourd’hui condamnée à «diversifier sa gamme de production», en ce sens que le marché international est caractérisé, dans ce domaine, par «les transactions et l’échange de gammes de produits». Côté emploi, l’expert affirme que «le complexe de Bellara peut assurer jusqu’à 4000 emplois et n’aura pas de difficulté à trouver une main-d’œuvre spécialisée, disponible en abondance sur le marché national».

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Comment trouver des partenaires financiers?

Afin de mettre en route un projet de création d’entreprise, il est important de fournir un apport personnel conséquent sous peine d’avoir des difficultés dans la mise en marche des procédures.
Les nouvelles entreprises menées par des dirigeants jeunes et frais ont souvent tendance à faire appel à des partenaires financiers. Ainsi, il devient intéressant d’exploiter toutes les pistes possibles pour trouver, de façon aisée, les meilleurs partenaires financiers possibles.

Sélection, rigueur et méfiance sont de mise !
Il faut savoir que la méfiance est une constante immuable en business, surtout quand des transactions financières sont concernées. Il est donc impératif de faire un bon choix en terme de partenariat financier pour espérer entamer le processus sur de bonnes bases.

Il ne faut pas faire l’erreur d’engager directement un partenariat. En effet, il est avant tout nécessaire d’étudier l’entreprise et d’identifier de façon précise ses principaux besoins. Opter pour des partenaires ayant des potentialités financières peut s’avérer intéressant.

Dans ce contexte, le chef d’entreprise a l’embarras du choix. Effectivement, il existe plusieurs possibilités pour trouver des partenaires financiers. Commencer ses investigations par une recherche internet peut faciliter la tâche.

Commencer ses recherches sur internet
Le site partenaire financier saura répondre efficacement à la demande de la plupart des dirigeants en quête de partenariat. Assurément, ce site offre la possibilité de poster une demande d’investissement pour tout chef d’entreprise qui cherche des capitaux ou des entreprises qui ont besoin d’investisseurs. Sinon, il sera classique de poster une publication dans un journal spécialisé.
Il ne faut pas se précipiter pour prendre une décision. Il est important de prendre son temps pour analyser les différentes offres afin d’opter pour le type de partenariat le plus adéquat en matière d’assurance et de réussite. Par ailleurs, il ne faut pas oublier de prévoir les conditions d’utilisation des ressources avant de passer l’accord de partenariat. La répartition des profils réalisés se fera suite à un commun accord issu d’une décision bien réfléchie. Pour assurer une bonne visibilité, il convient de préciser le statut du partenaire financier et de déterminer sa responsabilité au sein de l’entreprise.
Après concertation et accord, la rédaction d’un contrat s’impose. Il sera primordial d’étudier toutes les clauses pour garantir les droits de chaque partie. L’idéal serait de demander l’aide d’un avocat.

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