opérateur

Algérie Télécom fera appel davantage aux jeunes sous-traitants

Algérie Télécom (AT) envisage de faire appel davantage aux entreprises nationales de sous-traitance notamment celles créées par des jeunes, a affirmé mercredi le directeur de la communication du groupe, Abdelhamid Meziani.

« Algérie Télécom compte mobiliser davantage, quand elle ne le fait pas déjà, des micro entreprises créées par le biais de l’Agence nationale de soutien à l’emploi de jeunes (ANSEJ) et recourir à la sous-traitance à travers les entreprises de travaux de réalisation », a-t-il précisé dans un communiqué.

Selon lui, en intervenant comme « le sponsor majeur » de l’édition 2013 du Salon national de l’emploi, le groupe AT a « tenu à réaffirmer sa détermination à aller de l’avant pour que la nouvelle stratégie qu’il déploie dans le domaine des Technologies de l’information et de la communication (TIC) soit porteuse d’espoir » en matière de création d’emploi .

L’opérateur historique, qui emploie actuellement 21.707 travailleurs, ambitionne de renforcer ses effectifs, directement ou indirectement, dans le cadre de la mise à niveau de ses réseaux téléphoniques et du déploiement d’une infrastructure en fibre optique qui concernera 919 localités à travers le pays, a-t-il poursuivi.

Le nouveau réseau de fibre optique permettra le raccordement d’un million d’abonnés supplémentaires en haut débit et l’amélioration de la vitesse de ce dernier, ainsi que le lancement du réseau LTE fixe, a ajouté M. Meziani.

 

Source: http://www.aps.dz

Lire plus

Opportunités d’investissements et d’affaires à Ghardaïa présentées aux chefs d’entreprises

Les opportunités d’investissement et d’affaires qu’offre la région de Ghardaïa dans divers secteurs ont été présentées lors d’une rencontre d’information, mercredi au siège de la wilaya, à l’initiative de la Confédération des industriels et producteurs algériens (CIPA).

Intervenant devant un panel d’industriels et de chefs d’entreprises d’Alger opérant dans divers secteurs économiques, les membres de l’exécutif de la wilaya de Ghardaïa ont présenté les potentialités de la région, notamment dans les secteurs porteurs de l’économie locale comme l’agriculture, l’élevage l’artisanat et le tourisme, ainsi que les facilités accordées aux opérateurs économiques souhaitant investir dans la région.

La délégation de promoteurs et d’opérateurs économiques opérant dans plusieurs domaines, comme l’industrie, les finances, l’hôtellerie, l’immobilier, l’événementiel et la communication, l’agroalimentaire, le consulting, l’électronique, le Bâtiment et travaux publics et affiliés à la CIPA, a effectué mardi des visites sur le terrain pour être au fait des réalisations socioéconomiques de la région.

Conscients du rôle de ’’hub régional’’ et d’un ’’marché des affaires’’ important que joue désormais Ghardaïa, les membres de la délégation ont loué les opportunités d’investissement jugées ’’attractives’’ de la région et exprimé leur ambition d’y investir.

’’La région jouit d’un environnement d’investissement et d’affaires très attractif, à la faveur des infrastructures réalisées, du climat de prospérité y régnant, ainsi que des avantages fiscaux et parafiscaux mis en place par le gouvernement dans le but de booster l’investissement dans les régions du sud et des Hauts-plateaux », a souligné le président de la CIPA.

’’Les opportunités d’affaires sont énormes, notamment dans des domaines d’avenir tel que les agro-industries, les technologies vertes, les énergies renouvelables et la sous-traitance’’, a précisé Abdelaziz Mehenni, avant d’appeler les opérateurs et promoteurs à investir dans le sud pour « créer la richesse et contribuer au développement de la région ».

De son côté Malek Serrai, expert consultant, a relevé les ’’larges’’ opportunités d’investissement existantes dans la région, appelant à la mise en place d’une stratégie de communication pour attirer les opérateurs économiques.

’’Ghardaïa dispose d’importantes installations et d’infrastructures appelées à renforcer son attractivité tout en contribuant à son élan économique’’, a estimé M. Serrai, ajoutant que la région jouit, par ailleurs, d’atouts touristiques particuliers qui ’’séduisent aussi bien les touristes que les investisseurs’’.

Pour sa part le président de la Fédération agroalimentaire (filière lait), Abdelwahab Ziani, a indiqué que des projets intégrés pour le développement de l’apiculture, l’élevage, la production de viande, et de lait et dérivés, peuvent être lancés dans la wilaya afin de développer une industrie agroalimentaire consommatrice de main-d’œuvre et créatrice d’emplois.

Mohamed Lakhdar Badreddine, chargé par le secrétaire général de l’UGTA, d’accompagner les opérateurs et de les encourager à investir dans le sud, a affirmé que cette mission permet de proposer aux investisseurs potentiels des opportunités pour la création d’entreprises fiables et durables dans différents secteurs économiques.

Le wali de Ghardaïa, Ahmed Adli, a appelé les promoteurs et autres opérateurs économiques, à saisir l’opportunité des potentialités encore vierges existant dans la wilaya de Ghardaïa afin de contribuer à la création de richesse, dans une vision de développement durable, respectueuse de l’environnement.

 

Source: http://www.aps.dz

Lire plus

Une nouvelle stratégie orientée vers les facilitations douanières

Les cadres (centraux et régionaux) de la Direction générale des Douanes (DGD) étaient réunis mardi à Alger pour débattre d’une nouvelle stratégie orientée vers les facilitations douanières au profit des opérateurs économiques, a-t-on constaté.

La 6ème conférence nationale des cadres des Douanes, ouverte mardi à Alger sous le thème de « la facilitation douanière au service de la promotion des échanges commerciaux », doit dégager « les pistes de la nouvelle stratégie douanière orientée beaucoup plus vers la facilitation », a recommandé le Directeur général des Douanes, Mohamed Abdou Bouderbala.

« Il faut que les Douanes algériennes deviennent un véritable partenaire de l’opérateur économique et ne plus constituer un frein à l’investissement », a-t-il souligné à l’ouverture de cette conférence de trois jours.

Dans un message adressé aux conférenciers, le ministre des Finances Karim Djoudi a souligné de son côté que l’enjeu auquel fait face désormais la Douane algérienne GD était de « concilier contrôle et facilitation ».

Réduire les coûts de dédouanement, alléger les procédures douanières et intensifier la lutte contre la contrefaçon, le blanchiment d’argent et les transferts illicites sont d’autant d’objectifs que les Douanes semblent accomplir avec succès, selon le ministre.

Les douaniers vont ainsi discuter de huit axes devant conduire à plus de succès en la matière. Il s’agit de la facilitation douanière comme levier de compétitivité des entreprises, la gestion des ressources humaines et la formation, le système d’information et l’usage des TIC, la lutte contre la fraude et la contrebande, le parachèvement de l’organisation des services et leur performance ainsi que le contrôle interne et l’amélioration des conditions de vie et de travail des agents douaniers.

M. Bouderbala a rappelé à cette occasion les différentes étapes de modernisation de la DGD entre 2007 et 2012, une modernisation qui a déjà débouché sur des résultats « très satisfaisant », selon lui.

Arguments à l’appui, il a notamment évoqué l’actualisation de l’arsenal juridique douanier, la mise en place du « partenariat » Douanes-entreprise à travers l’instauration du statut de l’opérateur économique agréé (OEA) et la promotion de la ressource humaine à travers la formation.

L’instauration de la culture de l’obligation de résultats par la mise en place du dispositif de performance des services opérationnels, la lutte continue contre la corruption par la réorganisation du contrôle interne ainsi que l’amélioration du recouvrement fiscal sont les autres fruits de la modernisation amorcée depuis six ans.

Recettes douanières multipliées par trois depuis 2006

Le recouvrement fiscal de la DGD a augmenté de 180% entre 2006 et 2012, passant de 284 milliards (mds) de DA à 791 mds de DA, selon M. Bouderbala.

Ces recettes étaient de 570 mds de DA en 2011.

La hausse des recettes douanières en 2012 a été cependant accompagnée d’une baisse des importations à 46,8 mds de dollars contre 47,2 mds de dollars en 2011. L’augmentation des recouvrements douaniers n’a été en fait que le résultat direct d’une meilleure maîtrise de l’assiette fiscale, ont souligné des cadres de la DGD.

Sur le statut de l’OEA, M. Bouderbala a indiqué que 47 opérateurs économiques ont obtenu à ce jour ce statut mis en oeuvre au début de l’année, alors qu’une vingtaine de demandes de cet agrément sont actuellement à l’étude.

Le statut de l’OEA, qui accorde à l’importateur producteur un passage prioritaire des marchandises importées avec un dédouanement à posteriori, constitue une sorte de rapport de confiance entre les Douanes et les opérateurs.

En réponse aux journalistes qui l’interpellaient au sujet de la contrefaçon qui ravage le marché algérien, M. Bouderbala a reconnu que des efforts restaient à faire dans ce domaine, mais non seulement de la part des Douanes.

« La DGD a été la première administration à tirer la sonnette d’alarme contre la contrefaçon en Algérie (…) mais ça ne dépend pas uniquement des douanes : si le propriétaire de la marque originale ne dépose pas plainte par exemple, on ne peut pas réagir à sa place », a-t-il affirmé.

Une réflexion avec les autorités concernées a été tout de même entamée pour rendre l’importation d’un produit contrefait un « acte douanier délictueux », a fait savoir M. Bouderbala.

Les retenues des Douanes pour présomption de contrefaçon ont atteint plus de 7,5 millions d’articles entre 2006 et 2012, a-t-il rappelé.

 

Source: http://www.aps.dz

Lire plus

Exportation : Un programme de formation au profit des opérateurs économiques

Un programme de formation aux métiers de l’exportation, initié par le ministère du Commerce, sera lancé le 2 mars, dans les chambres de Commerce et d’Industrie. Cette formation est destinée à toute entreprise détenant un registre de commerce, activant dans l’exportation ou possédant un potentiel dans ce domaine. Pour expliquer le programme de cette formation, une rencontre a été organisée, hier, à la chambre de Commerce et d’Industrie de l’Oranie (CCIO), à laquelle ont pris part les opérateurs économiques. Animée par un expert en commerce international, M. Aris Ali, cette journée a permis aux présents d’avoir toutes les informations sur ce programme. Tel qu’expliqué par l’expert, il s’agit d’une opération soutenue par le Fonds de soutien à la promotion des exportations (FSPE) à hauteur de 80%. L’opérateur n’aura à payer que les 20% restants.

Les candidats à cette formation peuvent s’inscrire auprès des chambres de Commerce après avoir fourni un dossier composé de la photocopie de la carte nationale, du registre de commerce, d’une attestation de travail et d’une photo. M. Aris explique que si le nombre des candidats est de 15, c’est le formateur qui se déplacera dans la wilaya concernée. Si ce nombre n’est pas atteint, ce sont les candidats qui se déplaceront au niveau des 4 pôles régionaux : Oran, Constantine, Ghardaïa et Alger, retenus pour la mise en œuvre de cette opération. Quant au programme, il comporte 9 modules avec une durée de formation de 12 jours, pour expliquer aux opérateurs économiques l’environnement du commerce international, la législation douanière, les documents à fournir, l’élaboration du contrat, les documents de transport, les conventions qui existent entre l’Algérie et certains pays et aussi les expériences déjà menées dans le domaine de l’exportation.

Source: http://www.lequotidien-oran.com

Lire plus

Opportunités d’investissement en algérie présentées à Rome

Les opportunités d’investissement en Algérie, la législation algérienne en la matière et les atouts offerts par le marché algérien ont été présentés hier à Rome par Réda Hamiani, le chef d’une délégation des opérateurs algériens participant à un forum d’affaires avec leurs homologues italiens.

Au cours de cette rencontre qui a eu lieu au siège de la Confindustria (patronat italien), a également, évoqué les grandes lignes du plan quinquennal 2010/2014 doté de 286 milliards de dollars dont une bonne partie consacrée aux projets structurants, selon une source proche de la délégation algérienne.

Au sujet du partenariat entre opérateurs nationaux et étrangers, le président du Forum des chefs d’entreprises (FCE) a rappelé aux opérateurs économiques italiens que la réglementation algérienne octroie 49% des parts aux investisseurs étrangers contre 51% aux nationaux.

Pour M. Hamiani, l’Algérie qui dispose d’un «marché sain», a adopté un modèle de développement très intéressant pour les entreprises et c’est un pays «politiquement stable» qui a enregistré un taux de croissance de plus de 3% ces dernières années.

Il a également fait savoir que le Produit intérieur brut (PIB) de l’Algérie a atteint au cours des dernières quatre années, les 200 milliards de dollars, que le pays dispose de réserves de changes évaluées à 200 milliards de dollars et que le revenu par habitant s’est établi à 5.400 dollars.

Une économie ouverte

Dans cette présentation, le président du FCE a, également, indiqué que l’Algérie qui a épongé sa dette extérieure, a opté pour «une économie ouverte» depuis une vingtaine d’années, et constitue «un marché important» pouvant intéresser les entreprises italiennes.

Il a par ailleurs, rappelé que l’Algérie a adopté une nouvelle politique industrielle visant à réduire sa dépendance des hydrocarbures, et à réduire ses importantes importations de produits agroalimentaires, mettant en avant l’adoption du nouveau codes des marchés qui a réintroduit la formule du «gré à gré». Il a également expliqué à l’assistance les modalités de l’accès au marché algérien pour les opérateurs étrangers, contenues dans la législation nationale en la matière.

Les opérateurs italiens « très intéressés »

M. Hamiani a par ailleurs, saisi cette opportunité pour évoquer les «50 propositions pour un nouveau pacte de croissance économique», un document élaboré par le FCE et publié sur le site internet de la Confindustria. Selon la même source, les opérateurs italiens se sont montrés «très intéressés» par les opportunités offertes par le marché algérien, et ont loué «la stabilité politique du pays».

Au cours de cette rencontre d’une journée, les opérateurs économiques algériens auront des discussions avec leurs homologues italiens pour nouer d’éventuels partenariats dans différents secteurs d’activités. Cette rencontre intervient à un moment où les relations économiques entre Alger et Rome connaissent «une accélération sans précédent» enclenchée dans la dynamique de la tenue du second Sommet de Haut niveau du 14 novembre dernier.

Elle intervient également, à quelques jours de la visite en Algérie de quelque 140 opérateurs économiques italiens membres de l’Association italienne des constructeurs et des infrastructures (ANCE) au cours de laquelle il a été notamment, question de la création prochaine de quatre sociétés mixtes algéro-italiennes spécialisées dans le bâtiment.

 

Source: http://www.algerie360.com

Lire plus