étude

ANSEJ – Bureau international du travail: Convention pour développer la formation

L’Agence nationale de soutien à l’emploi de jeunes de la wilaya d’Oran vient de se lancer dans la formation de ses cadres. Un perfectionnement qu’elle juge indispensable pour pouvoir par la suite orienter et accompagner les nouveaux porteurs de projets. Une convention allant dans ce sens a été signée dernièrement entre le Bureau international du travail et les cadres de l’agence.

Cette nouvelle vision va permettre, selon M. Nehila, directeur par intérim à l’ANSEJ d’Oran, de recycler les formateurs afin qu’ils puissent accompagner les jeunes porteurs de projets dans différents domaines liés au management des entreprises, à la gestion et à la recherche de la compétitivité. Le but assigné d’une telle action, selon notre interlocuteur, est de faire bénéficier ces porteurs de projets de tous les aspects techniques édictés par la réglementation, maîtriser l’environnement dans lequel ils exercent et surtout concrétiser leurs objectifs. Un défi que les responsables tentent de concrétiser à travers ces mesures d’encouragement et de facilitation. Pour cette année, l’Agence compte généraliser les crédits à d’autres secteurs d’activités dont la création de PME et PMI.

Des aides qui permettront aux porteurs de projets de créer de l’emploi et de prendre part aux différents projets de l’Etat puisqu’ils ont désormais droit aux 20% des projets inscrits par les pouvoirs publics au profit du secteur public. La formation et le perfectionnement de toutes les parties concernées s’imposent d’eux-mêmes, explique-t-on. Parallèlement à cette mise à niveau du personnel, l’agence a mis en place une cellule d’écoute et d’orientation. Des cadres chargés de recevoir les demandeurs de crédits ont été désignés pour mieux faciliter la prestation de service. Ces agents de communication auront pour mission l’orientation et la prise en charge des doléances des jeunes. Plusieurs journées de sensibilisation sur ces mesures d’accompagnement ont été organisées depuis le début de l’année dans le but de mieux vulgariser les différents dispositifs instaurés par l’Etat en direction des demandeurs de crédits.

 

Source: http://www.lequotidien-oran.com

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Relance Industrielle et usage des TIC: Signature d’une convention-cadre

La relance économique et industrielle peut-elle se passer de l’usage des technologies de l’information et de la communication au moment où la compétitivité fait rage autour d’un meilleur positionnement localement et la conquête de parts de marché à l’international ? 
Une fausse question tant elle porte en elle-même la réponse dont les premiers responsables des deux départements ministériels, ceux de la Poste et des Technologies de l’information et de la Communication et de la PME et de la Promotion de l’investissement, en sont convaincus. C’est pour cela, d’ailleurs, qu’ils sont allés au-delà de la simple profession de foi maintes fois et publiquement exprimée pour matérialiser cette conviction commune. C’était hier, à travers la signature d’une convention-cadre portant intégration des technologies de l’information et de la communication comme vecteur structurant et instrument de modernisation et de promotion des entreprises industrielles et autres PME. Intervenant en premier avant le paraphe de cet accord, Chérif Rahmani a tenu d’abord à partager sa conviction selon laquelle il ne saurait y avoir d’industrie sans services et sans technologies avant de sérier les objectifs assignés à cette convention. En tout premier lieu, dématérialiser l’administration dans tous ses démembrements à travers la généralisation des nouvelles technologies, invitant, au passage, le responsable informatique de son département à mettre en pratique le plan de développement de l’internet datant de deux ans. En second lieu, poursuivra-t-il, il s’agira de transformer numériquement la sphère économique, plus particulièrement celle de l’industrie à travers deux niveaux : la transformation numérique de l’administration et des entreprises industrielles et des PME. Rahmani se voudra plus explicite en évoquant l’élaboration de programmes de formation en TIC pour le secteur industriel et les PME ainsi que la diffusion de ces nouvelles TIC et la généralisation de leur usage à même, dira-t-il, de permettre à ces entités industrielles de développer leur compétitivité sur les marchés. Il parlera également de l’encouragement de l’innovation en favorisant la création d’entreprises innovantes (start-up) avec l’incitation des entreprises industrielles et des PME à initier des projets de recherche dans le domaine des TIC. Plaidant pour que nos entités économiques prennent, enfin, conscience de tout l’apport et de l’appui incommensurables des TIC, Moussa Benhamadi insistera sur l’impérative mobilisation de tous, pour que nos entreprises s’y intéressent, car seule issue, selon lui, à même de leur permettre plus d’agressivité régionale voire internationale. Il fera part, de l’étude, la semaine prochaine, par le CPE (Comité de participation de l’Etat), d’un plan élaboré par la commission haut-débit portant généralisation de la fibre optique aux agglomérations de moins de 1000 habitants. Un projet qui profitera également aux zones d’activités aux quatre coins du pays.

 

source: http://www.lesoirdalgerie.com

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Comment faire une étude de marché ?

L’étude de marché est une des étapes essentielles de la création d’une entreprise. Elle permet en autre de vérifier la cohérence de votre projet et sa faisabilité commerciale. Dans cet article, nous vous donnons toutes les clés pour que vous puissiez réaliser vous-même votre étude de marche.

Etude de marché : les questions à se poser

Une étude de marché est une étape primordiale pour la préparation d’un projet avant son lancement. Elle permet de collecter et d’analyser toutes les informations nécessaires pour sa mise en place dans un cadre particulier. Le projet doit donc être situé dans un contexte adéquat, notamment au niveau de sa préparation, en abordant certaines questions.
Il s’agira de choisir son marché selon le type de produit ou service à fournir, l’évolution du marché en question, les volumes de vente et le chiffre d’affaires à atteindre. Les consommateurs seront définis selon leur proximité, leurs besoins, leurs fréquences et leurs habitudes de consommation.
Les concurrents, quant à eux, seront identifiés selon leur importance, leurs prix et leurs politique technico-commerciale. Ceci permettra de s’aligner par rapport à une stratégie rodée, en identifiant les éléments à améliorer et les risques à anticiper.
L’environnement du marché devra ensuite être abordé à travers le cadre réglementaire, ainsi que les opportunités et les risques pouvant en découler. Ceci permettra de statuer quant à l’importance du projet et les innovations qu’il pourrait apporter au niveau du marché.
L’analyse de toutes ces données permettra de lancer le projet dans des conditions stables, à travers la détermination du chiffre d’affaire prévisionnel à atteindre et l’établissement d’un business plan adapté aux conditions du marché.

Etude de marché : par où commencer?

Une étude de marché est un processus de collecte et d’analyse d’informations concernant le marché dans lequel va s’inscrire le projet d’une entreprise. Cette étude permettra de statuer quant à la rentabilité du projet avant sa mise en place, et servira à élaborer un business plan suivant les nécessités définies par le marché.
Elaborer une étude de marché doit cependant s’appuyer sur une démarche rigoureuse et se faire selon des étapes précises. Il s’agit, en effet, de commencer par l’identification du problème, en mettant en relation l’activité exercée avec les objectifs à atteindre dans un certain environnement. La détermination des éléments nécessaires à l’étude se fera, ensuite, à travers l’identification de l’échantillon à étudier, des informations à recueillir et la définition du mode de collecte d’informations. Cette étape se fera en choisissant les sources d’informations selon leur fiabilité et la crédibilité de leurs résultats.
Une analyse statistique de ces données permettra d’élaborer un rapport d’étude, qui servira à orienter le choix du projet et à répondre au premier point de toute la démarche. En effet, l’analyse des opportunités et des risques du marché permettra de définir le degré d’adéquation du projet (au niveau des objectifs à atteindre), la faisabilité du projet (au niveaux technique et financier) et sa rentabilité.

Etude de marché : les erreurs à éviter

Une étude de marché est une analyse focalisée sur les besoins et les conditions du marché. Lors de son élaboration il est nécessaire d’étudier toutes les composantes de l’environnement d’un projet, en évitant certaines erreurs pouvant mener à la faillite de l’entreprise.
Ces erreurs concernent l’analyse des besoins des consommateurs. Certaines informations recueillies pouvant être volontairement erronées, il est nécessaire d’en recueillir également auprès de la concurrence. Il s’agit ainsi de se focaliser sur les besoins auxquels l’offre est la plus satisfaisante, à travers des sondages variés. Ceci permet d’éviter de surestimer ou de sous-estimer les chiffres relatifs aux besoins du marché.
D’autres erreurs peuvent découler de l’évaluation de la situation du marché et de son évolution. Il est donc nécessaire de déterminer, avec précision, les besoins et les potentiels de consommation des clients, ainsi que l’offre présentée et les résultats chiffrés des concurrents, en rapport étroit avec l’activité de l’entreprise.
Les recherches doivent également tenir compte de la zone de chalandise concernée, notamment lorsque le produit ou le service à fournir est nouveau sur le marché. En effet, ne pas connaître le potentiel de consommation dans la zone peut causer des erreurs d’étude. Il est donc capital d’en sonder les intentions d’achat avant de se lancer, et d’analyser les habitudes de consommation en tenant compte des clients de proximité.

Etude de marché : les risques d’un nouveau marché

Un projet tendant à lancer un nouveau produit ou service, ou à introduire une activité dans un nouveau marché, nécessite une étude de marché particulière. En effet, ce type de projet représente un bon nombre de risques à éviter, en rapport avec le caractère nouveau et quasi-inconnu de son environnement.
Les risques s’articulent essentiellement autour des besoins consommatoires du marché. En effet, le fait d’ignorer les vrais besoins des consommateurs potentiels peut constituer une raison d’échec du lancement du produit. Il est donc important de transposer les besoins d’une même clientèle, dans une autre zone de chalandise, en tenant compte des différences de comportement au niveau de la consommation d’une zone à l’autre.
Un autre risque peut se situer au niveau de la capacité de l’entreprise à fournir le service ou le produit en termes de quantité et de qualité. En effet, les marchés varient au niveau des nécessités, parfois pour le même produit, et il est nécessaire de déterminer les besoins cycliques de la clientèle, afin de pouvoir y répondre d’une manière satisfaisante.
Outre ces risques, d’autres peuvent se rapporter à la concurrence. Celle-ci peut en effet être présente et difficile à déloger, malgré le caractère nouveau du marché, il est donc nécessaire de prendre ce risque en compte. Les concurrents étant généralement peu nombreux, les informations chiffrées qui les concernent sont pus faciles à recueillir, et l’étude de marché devient plus facile à élaborer.

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L’Etude de faisabilité d’un projet en 4 étapes

Le but principal d’une étude de faisabilité est de déterminer la « pertinence » d’un projet, ainsi que de décider si les dépenses et moyens mis en œuvre pour le mener à bien sont justifiés. Le processus de faisabilité consiste à identifier les résultats attendus par l’activité et le client à qui vous allez livrer le produit final. Détails de la procédure.

Etudier le problème « Business »

C’est généralement le point de départ de toute étude de faisabilité. L’existence même d’un projet prend racine soit dans la résolution d’un problème « Business » soit dans le désir de saisir une opportunité donnée. Cette étape sert donc à analyser le problème ou l’opportunité, ainsi qu’à déterminer les délais d’exécution.

Les solutions de rechange

Enchaînement logique : après le problème, vient la solution. Il est nécessaire d’en prévoir plusieurs. La procédure d’identification de la solution se déroule comme suit :

– Identification des solutions de rechange

– Mesure des gains générés par chaque solution

– Estimation des coûts de mise en œuvre de chaque solution

– Évaluation de la faisabilité de mise en œuvre de chaque solution

– Identification des risques et les problèmes liés à chaque solution

Vous vous pencherez, par la suite, sur la description de toute la démarche dans votre étude de faisabilité.

Choix de la meilleure solution

Cette étape nécessitera un système de notation que vous établirez en vous basant sur des critères précis. La note elle-même dépendra de l’importance du critère. C’est ainsi que vous pourrez procéder à l’évolution des solutions de rechange précédemment sélectionnées.  Là encore, il est nécessaire de décrire la procédure dans votre étude de faisabilité.

Description de l’approche de mise en œuvre

Les étapes « techniques » de votre analyse sont terminées. Il ne vous reste plus qu’à présenter l’étude à votre partenaire financier/client. Votre conviction et votre enthousiasme lors de cette étape dépendront essentiellement de la solidité de votre étude dans son ensemble.

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Faire une étude de marché

Faire une étude de marché

Pour se projeter dans le temps, il est nécessaire de décrypter le marché et la concurrence.

Sans marché, pas de clients et donc pas d’entreprise. L’étude de marché est un passage obligé pour votre projet de création d’entreprise, et ce quelqu’en soit l’ampleur. Faire une étude de marché c’est identifier l’information dont vous avez besoin, la trouver, l’analyser et l’utiliser. Quelques pistes et conseils pour faire une étude de marché efficace.
Etudier un marché, c’est tout d’abord comprendre l’environnement dans lequel vous allez créer votre entreprise, identifier vos concurrents. Une démarche qui n’est pas toujours prise au sérieux. Ne pensez pas que parce que votre produit est tout à fait nouveau, vous n’avez pas de concurrents. C’est une erreur, car il est rare aujourd’hui de créer un besoin nouveau. Ainsi, trop de personnes créent des entreprises sans étude de marché préalable.Un principe à retenir : si vous n’identifiez aucun concurrent qui fasse le même métier que vous, c’est que vous devez avoir des concurrents indirects, c’est-à-dire qui répondent aux mêmes besoins que votre offre, mais par des moyens différents. Dans ce cas, il faut être plus averti et imaginatif pour détecter cette concurrence. Pour citer un exemple concret, au petit déjeuner, le chocolat en poudre a pour concurrent des produits différents tels que le yaourt ou les céréales. Par ailleurs, il faut identifier les fournisseurs du marché et leurs habitudes, vos clients potentiels, ou encore la réglementation du secteur en question. Le document se veut d’abord être une étude théorique, qui est ensuite complétée par une étude de terrain pour vérification.
  • Etude de marché : quelles sont les questions à se poser ?
  • Que vais-je vendre et surtout à qui vais-je le vendre ?
  • Que vais-je vendre et surtout à qui vais-je le vendre ?
  •  Que vais-je vendre et surtout à qui vais-je le vendre ?
  • A quel besoin mon offre répond-elle ?
  • Comment vais-je vendre ce produit ou ce service ?
  • Quels sont mes concurrents directs et indirects ?
  • Mon marché est-il local, régional ou international ?
  • Quelles sont les caractéristiques du processus d’achat de mon produit ?
  • Où vais-je implanter mon entreprise ?

Mais récolter l’information n’est pas une mince affaire. Trouver une information fiable et à moindre coût reste un défi. Sur Internet par exemple, vous trouverez divers organismes mettant à votre disposition des chiffres et des analyses. L’accès à ces informations peut être payant, mais pas dans tous les cas.

Outre les données disponibles sur la toile, pour trouver une information particulière et sectorielle, consultez les syndicats professionnels, les observatoires économiques et les centres de documentation des chambres de commerce. Ces deux dernières sources sont davantage locales et en contact avec le terrain. Sachez quand même que leur richesse est inégale suivant les régions et dépend largement des moyens dont ils disposent.

Ne négligez pas non plus les sources d’informations qui sont à portée de mains, comme la presse ou même les sommaires d’études qui, par ailleurs, sont payantes. Et pour identifier vos concurrents, n’hésitez pas à consulter tout simplement les Pages Jaunes.

Propos recueillis auprès de Sylvie Fardin.

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