coopération

Forum d’affaires algéro-portugais en avril (CACI)

Un forum d’affaire algéro-portugais visant à renforcer la coopération et le partenariat bilatéral sera organisé à Alger du 20 au 23 avril prochain par la Chambre de commerce et d’industrie arabo-portugaise, annonce jeudi la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI).

Cette mission économique vise à renforcer la coopération entre les représentants des communautés d’affaires des deux pays activant dans les secteurs de l’énergie, l’ingénierie ferroviaire, la pharmaceutique et les communications et systèmes d’information, ainsi que l’agroalimentaire.

Un forum d’affaire sera organisé au siège de la CACI le 21 avril et portera sur une session plénière de mises en relations d’affaires, indique la CACI.

Lors de la troisième réunion du comité conjoint de coopération économique algéro-portugaise tenue le mois dernier à Alger, M. Chérif Rahmani, ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, avait souligné que « l’Algérie veut développer un partenariat stratégique basé sur la complémentarité économique et le transfert technique avec le Portugal ».

L’Algérie est le deuxième plus grand marché du Portugal en Afrique et le 13ème à l’échelle mondiale.

Le volume des échanges commerciaux entre les deux pays s’est établi à près de 3,3 milliards d’euros en 2012, dont plus de 800 millions d’euros d’exportations algériennes et quelque 2,4 milliards d’importations.

 

Source: http://www.aps.dz

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Algérie-Allemagne : La règle 51/49, obstacle pour l’investissement étranger

Le ministre de l’Economie du land Baden-Württemberg estime que « la règle 51/49 peut être un obstacle psychologique pour l’investissement étranger en Algérie ».

Accompagné d’une vingtaine de représentants de divers horizons de l’industrie allemande (député de l’opposition, fédérations et organisations patronales, agence commerciale, la chambre des ingénieurs, chefs d’entreprises (génie civil, mécanique…), Nils Schmid est venu à Alger pour 24h, en vue de rencontrer les ministres algériens chargés des secteurs économiques et en connaître leurs demandes en la matière. «J’ai rencontré le ministre des Transports, de l’Energie, de l’Industrie-PME et celui des Travaux publics, j’ai eu avec chacun d’entre eux des entretiens intensifs, j’ai eu d’importants contacts politiques, nous cherchons du concret pour les entreprises allemandes », nous a déclaré le ministre de l’Economie du land Baden-Württemberg dans la soirée du lundi au cours d’une réception organisée en son honneur et sa délégation par l’ambassadeur d’Allemagne à Alger.

Le ministre du land le plus industrialisé de la République fédérale d’Allemagne est venu pour s’imprégner des projets industriels que l’Algérie programme de réaliser. «Nous sommes venus nous renseigner d’abord sur les projets initiés par les différents ministères, nous avons discuté de quelques-uns assez privés avec le ministre de l’Industrie », a-t-il fait savoir. Il annonce la tenue le 19 février prochain dans son land d’une journée sur la sous-traitance automobile à laquelle il souhaite que les Algériens participent. « Notre land est le berceau de l’industrie automobile, nous avons une centaine de sous-traitants très performants, les Algériens pourront venir voir sur place », nous a-t-il dit en lançant qu’il aimerait bien recevoir des ministres algériens. «Nous les avons invités, nous espérons qu’ils viendront », indique-t-il.

Nils Schmid nous apprend que le ministère de Rahmani prépare pour cette année une plate-forme d’informations sur le secteur de l’industrie algérienne. «C’est une opportunité pour les entreprises allemandes, c’est important pour les PME allemandes d’être informées assez tôt pour pouvoir intervenir efficacement sur le marché algérien.» Il pense en outre organiser dans son land une rencontre en mai prochain pour faire rencontrer les opérateurs industriels des deux pays. Le ministre de l’Economie a, par ailleurs, eu des discussions avec le ministre de l’Energie et des Mines. «Nous avons beaucoup parlé sur la recherche appliquée dans les énergies renouvelables, les instituts de recherche en géologie, la cartographie, M. Yousfi nous a proposé de faire explorer par nos experts des terrains géologiques, nous recevrons aussi en Allemagne des experts algériens à cet effet », nous a affirmé Nils Schmid.

Le responsable allemand estime que non seulement «l’Algérie est le plus gros marché dans le monde arabe et l’Afrique », mais «elle a aussi lancé un important plan quinquennal avec des perspectives très ambitieuses ». Il assure à ce titre que « nous sommes très forts dans la mécanique, l’électronique, le génie civil et bien d’autres activités industrielles diverses, nous pouvons nous engager dans des partenariats très équilibrés, nos entreprises sont prêtes à investir en Algérie».

Le ministre avouera cependant qu’il sera difficile pour les PME de sa région de se plier à la règle 51/49 parce que, nous a-t-il expliqué, «nos PME sont pratiquement toutes gérées par des groupes familiaux, elles préfèrent donc être majoritaires dans un partenariat parce qu’elles cherchent la proximité avec leurs clients ». La règle 51/49 consacrée par la loi de finances 2009 pose ainsi problème aux entreprises allemandes. «C’est difficile pour nos PME de l’accepter, elle peut s’avérer un obstacle psychologique pour l’investissement étranger en Algérie, c’est dommage», regrette-t-il. Nils Schmid tente de positiver en estimant que « ce n’est pas un obstacle énorme, mais c’est la réalité, il faut reconnaître que c’est difficile pour les PME allemandes de faire avec ». Il profitera pour assurer que «nos PME sont très compétentes, il faut trouver une solution si l’Algérie veut en profiter ».

Le ministre posera en outre les problèmes « des marchés publics et des avis d’appels d’offres ». Il fait savoir que les marchés publics sont trop lourds pour les PME, elles refusent de les prendre. Cherif Rahmani a proposé, selon lui, la création d’un partenariat pour résoudre ce problème.

 

Source: http://www.lequotidien-oran.com

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Formation managériale : accord de partenariat entre l’Inped et HEC Montréal

La coopération de l’Institut national de la productivité et du développement industriel (Inped) avec HEC Montréal date des années 1970.

L’Institut national de la productivité et du développement industriel (Inped) a signé, hier au siège du ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement à Alger, une déclaration d’intention de collaboration avec HEC Montréal, représenté par son directeur général, Michel Patry. Le contrat porte sur le lancement d’un projet d’accompagnement au profit de l’Inped, et ce, dans le cadre de «la mise en œuvre des politiques de redressement industriel à travers le développement et la promotion de la compétitivité des entreprises industrielles et des PME visant l’amélioration de leur positionnement sur les marchés», a indiqué le ministre Cherif Rahmani.

Un programme de formation de top management est ainsi initié par le ministère en charge du secteur au profit des dirigeants et des cadres supérieurs des entreprises industrielles. Le programme de coopération entre les deux instituts sera dirigé par Mohamed Arezki Isli, fondateur et premier directeur général de l’Inped, est-il encore précisé. A ce propos, M. Isli ne manquera pas de rappeler que la coopération avec HEC Montréal date des années 1970. Elle s’est interrompue à une certaine période, mais la conclusion de cet accord va apporter une nouvelle dynamique dans les relations entre les deux instituts et contribuera énormément à la mise en œuvre du plan de redressement, déjà en cours, de l’Inped.

Selon lui, l’accord conclu avec l’école montréalaise permettra «d’apporter des solutions aux grands problèmes relatifs à la relance industrielle, en ce sens que la formation managériale constitue aujourd’hui l’un des piliers essentiels sur lequel le plan de relance s’appuie». Pour M. Rahmani, la reprise du partenariat entre l’Inped et HEC Montréal «assurera le transfert de savoir vers nos institutions et permettra d’accompagner l’Inped dans son travail, d’autant qu’il compte lancer deux MBA, professionnel et exécutif».

 

Source: http://www.elwatan.com/

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Algérie-Espagne: signature accords de coopération

L’Algérie et l’Espagne ont signé jeudi plusieurs  accords de coopération et mémorandums d’entente concernant de nombreux domaines  et secteurs, en présence du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika  et le président du gouvernement espagnol, M. Mariano Rajoy, en visite officielle en Algérie.

La cérémonie de signature de ces accords a eu lieu au siège de la présidence de la République. Il s’agit d’un protocole d’accord sur la coopération industrielle et la promotion du partenariat, de trois mémorandums d’entente dans les domaines de la coopération énergétique, la facilitation d’attribution de visas et de coopération culturelle, ainsi qu’un accord administratif relatif à la coopération dans les domaines scientifique, technologique et de la protection civile.

Les deux pays ont procédé, par la même occasion, à la signature de plusieurs autres accords de coopération liés notamment aux domaines du logement, de la construction de contacteurs, la papeterie, la fabrication de chaussures et la création d’un centre de développement du textile.

 

Source: http://www.elwatan.com

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Société mixte Sidérurgique à Bellara

Huit accords et mémorandums de coopération ont été signés, hier, à Alger, entre l’Algérie et le Qatar, à l’occasion de la visite de l’émir Cheikh Hamed Ben Khalifa Al Thani. Le plus important de ces accords signés, celui portant sur la création d’une société mixte pour la réalisation d’un complexe sidérurgique à Bellara, dans la wilaya de Jijel.
Sofiane Aït Iflis – Alger (Le Soir) – En dépit de son investissement diplomatique souvent en contradiction avec les efforts algériens, notamment par rapport aux crises dans le monde arabe où l’émirat apparaît comme le tisonnier des révolutions qui y ont cours, le Qatar sait se montrer bon entrepreneur en affaires. L’enveloppe de 286 milliards de dollars allouée au plan quinquennal de développement (2010-2014) ne l’a pas laissé indifférent. Aussi prétend-il à une coopération multisectorielle avec l’Algérie : l’énergie, les mines, le transport maritime, les finances et même l’agriculture. Mais c’est dans l’industrie qu’il met le paquet, avec ce projet de complexe sidérurgique d’une capacité de production estimée à 5 millions de tonnes. Cette société mixte algéro-qatarie devra, selon les études prévisionnelles, réduire de 20% les importations algériennes en matière d’acier. L’Algérie dépense 10 milliards de dollars par an en approvisionnement en ce matériau, soit près de 20% du total des importations. L’accord portant création de la société mixte a été signé, côté algérien, par le président-directeur général de Sider, Hasnaoui Chihoub, et le directeur du Fonds national d’investissement, Haddad Hocine, et côté qatari, par le président du conseil d’administration de Qatar Steel International, Ali Ben Hassan Al-Merikhi. L’Algérie et le Qatar sont liés, faut-il le rappeler, par un accord sur la suppression de la double imposition et l’évasion fiscale en matière d’impôt sur le revenu. Cet accord, signé par le Qatar en juillet 2008, a été paraphé par l’Algérie en novembre 2010. L’émir du Qatar est arrivé en matinée à Alger pour une visite d’une seule journée. Outre les accords signés, l’émir du Qatar a eu un entretien en tête-à-tête avec le président Bouteflika.

 

source: http://www.lesoirdalgerie.com

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Création de la Chambre de commerce suédo-nord- africaine

 

Economie résolument orientée vers l’exportation, la Suède entend doubler dans les trois années à venir la valeur de ses exportations.
Cependant, l’évolution actuelle de la croissance mondiale fragilisée par la crise en zone euro pousse le pays nordique à aller prospecter plus au Sud, dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, plus précisément. Les entreprises suédoises sont déjà bien implémentées dans divers pays du Machrak, comme l’Arabie Saoudite, les Emirats arabes unis ou encore l’Irak particulièrement.
La région du Maghreb suscite également un vif intérêt de la part des entreprises suédoises. C’est dans ce sens justement que la Chambre de commerce suédo-nord-africaine a été créée.

Ses activités ont d’ailleurs été lancées, mercredi dernier, à Stockholm. Selon les propos du président de cette nouvelle chambre, Mathias Mossberg, repris par l’APS, «Swedish North African Chamber of Commerce (SWENACC) servira de pont commercial» entre la Suède et l’Afrique du Nord, afin de «créer une nouvelle dynamique dans les échanges commerciaux et de renforcer la coopération entre les deux régions». Le secrétaire général de SWENACC, Yacine Slamti, a, de son côté, précisé que «la chambre mettra à la disposition des chefs d’entreprise tout un éventail de services afin de soutenir les entreprises qui cherchent à renforcer leur présence ou s’établir sur les marchés suédois ou nord-africains».

L’Algérie suscite d’ailleurs dans cette région l’intérêt des Suédois. Ces derniers affichent des ambitions dans les secteurs des énergies renouvelables, des technologies vertes et de l’environnement, où ils s’illustrent particulièrement à l’international. Il faut savoir qu’une dizaine d’entreprises suédoises sont actuellement présentes en Algérie, notamment dans le domaine des travaux publics comme Atlas Copco et ABB. L’entreprise des télécommunications Ericsson s’est également imposée comme le principal fournisseur en infrastructures télécoms pour les trois opérateurs mobiles présents en Algérie. La Suède s’illustre aussi en Algérie via ses véhicules lourds de marques Scania et Volvo, ainsi que dans l’emballage agroalimentaire à travers les activités de Tetra Pack.

 

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