agroalimentaire

Le salon international Djazagro 2013 d’Alger

Le Salon international de l’agroalimentaire ’’Djazagro’’, prévu du 9 au 12 avril prochains au Palais des Expositions des Pins maritimes, à Alger, ambitionne d’attirer 15.000 visiteurs, a indiqué, dimanche à Alger, le directeur de cette manifestation, Christophe Painvin.

« Le nombre de visiteurs est en hausse constante, passant de 9.000 en 2008, à 14.000 en 2012 », a-t-il précisé lors d’une conférence de presse de présentation du salon.

« Djazagro 2013’’ est destiné à offrir des choix adaptés aux professionnels désirant engager des efforts dans le domaine de la mécanisation « en tenant compte des besoins et des attentes de l’agriculture locale », a encore ajouté le directeur de cette manifestation économique.

Des nouveautés sont introduites pour cette édition, comme « le renforcement de Djazagro, secteur du machinisme agricole et des agroéquipements, afin d’en faire une véritable vitrine représentative de l’offre en la matière », a souligné M. Painvin.

Des démonstrations et animations sont aussi prévues sur les stands tout comme la création d’un nouveau secteur consacré aux arômes et ingrédients à la demande des visiteurs.

C’est également suite au souhait de ces derniers que le Salon sera ouvert un vendredi dans le but de permettre à un grand nombre de personnes issues de wilayas éloignées de visiter ce salon.

Outre le machinisme agricole et les équipements, le Salon couvrira les secteurs de l’agroalimentaire et de l’emballage, les produits finis et boissons, ainsi que les équipements pour la boulangerie et la restauration. L’évènement consacrera également le thème des procédés de culture des fruits et légumes.

Le salon regroupera cette année 513 exposants représentant 27 pays, selon M. Painvin qui a souligné que Djazagro s’est affirmé en Algérie, depuis 11 ans, comme un carrefour permettant « de nouer des partenariats dans les filières agricole et agro-industrielle’’.

Parmi les pays participants, il a cité entre autres, la France, l’Italie, Taïwan, la chine et le Brésil, et pour la première fois, l’Indonésie.

De son côté, le responsable de Djazagro Algérie, Rabah Alilat, a souligné que des rencontres ont été organisées dans plusieurs wilayas pour intéresser les investisseurs aux secteurs agricole et agro-industriel.

 

Source: http://www.aps.dz

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Industrie des boissons : des professionnels plaident pour une organisation de la filière

L’intégration des produits agricoles dans l’industrie des boissons doit passer par la mise en place d’une organisation regroupant les différents acteurs de la filière, ont plaidé mercredi à Alger les participants à un symposium autour de la valorisation des produits agricoles dans les boissons.

Actuellement, « il existe un problème d’entente entre l’agriculteur et l’industriel, notamment en ce qui concerne la disponibilité des matières premières, dont la quasi-totalité est importée’’, a estimé le président de l’Association des producteurs algériens de boissons (APAB), M. Ali Hamani.

Pour lui, la mise en place d’une plateforme regroupant les différents acteurs de cette industrie (agriculteurs, transformateurs, industriels) est nécessaire afin de trouver des solutions concrètes pour chaque domaine.

Dans ce cadre, les transformateurs et industriels devront définir aux agriculteurs et arboriculteurs leurs exigences en termes de variétés de produits, de qualité et de quantités, alors que ces derniers doivent assurer la disponibilité de ces produits.

De son côté, le président de la fondation Filaha-innove, M. Amine Bensemmane, a souligné que cette organisation permettra de créer une synergie entre les différentes parties prenantes de cette filière « importante » qui assure 90% de la demande du marché national.

« Nous voulons que les produits agricoles algériens soient utilisés au lieu d’importer quelque 95% des matières premières entrants dans la composition des boissons. C’est notre objectif à long terme, car nous avons des potentialités pour la production des fruits et légumes ».

Le directeur général de l’Institut des techniques de l’arboriculture fruitière et de la vigne (ITAFV), M. Mahmoud Mendil, a déploré quant à lui, le manque d’organisation entre les différentes parties prenantes de cette filière.

« Beaucoup d’opportunités peuvent s’offrir à l’industrie agroalimentaire, notamment les boissons pour satisfaire le marché national et aller même vers l’exportation, si les acteurs arrivent à restructurer et organiser cette filière », a-t-il estimé.

Les participants à cette rencontre ont, par ailleurs, souligné que les prix des matières premières en Algérie restent l’une des principales contraintes pour le développement de la production des concentrés notamment ceux des différentes qualités d’oranges.

Ces prix ne sont pas compétitifs par rapports à ceux des matières premières importées à cause du faible rendement de ces produits, des variétés peu diversifiés avec une qualité moindre.

Pour améliorer la qualité et la compétitivité des matières premières, les participants à ce symposium ont recommandé l’introduction de nouvelles techniques pour améliorer les rendements, et de réfléchir à un plan de développement de variétés destinées à l’industrie avec un fort rendement.

L’Algérie compte quelque 700 producteurs de boissons, selon le président de l’APAB, qui a dénoncé la prépondérance du marché informel dans cette filière.

 

Source: http://www.aps.dz

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Industrie agroalimentaire : un Salon international prochainement à Oran

Placé sous le haut patronage du ministre de l’Industrie, de la Promotion de l’investissement et de la Petite et Moyenne entreprises, le Salon international de l’industrie agroalimentaire (SIAG), qui sera organisé pour sa première édition à Oran du 14 au 17 mars, verra la participation de grands groupes algériens et étrangers spécialisés dans la production agroalimentaire.

L’on cite notamment Danone, Trèfle, Cevital, Sim et Soummam. Le thème «Sécurité agroalimentaire et qualité des produits alimentaires» retenu pour cet événement démontre, on ne peut mieux, l’importance accordée à cette manifestation. Plus d’une soixantaine d’entreprises de production sont attendues lors de ce salon où un riche programme a été retenu. Les organisateurs prévoient des rencontres sous forme de thématiques qui seront animées par des experts, en présence des représentants d’entreprise et des différents départements ministériels (Industrie, Agriculture et Commerce).

A noter que ce salon est initié par Proximity PR, une société spécialisée dans l’organisation de salons professionnels, des congrès et événements spéciaux en Algérie. Les organisateurs estiment répondre ainsi à une exigence de l’économie nationale, qui est en parfaite adéquation avec les attentes du marché algérien.

Le Salon «met en avant les réelles qualités de la production agroalimentaire algérienne et montre la richesse et l’ingéniosité des artisans, toujours aussi nombreux à choisir ces rendez-vous pour faire connaître leurs produits». Dans cette optique, «le département de Cherif Rahmani n’a pas hésité à parrainer cet événement d’autant plus qu’il présente des objectifs en droite ligne avec la nouvelle politique de développement de la production nationale sous forme de label de qualité et de sécurité alimentaire répondant aux normes internationales».

Source: http://www.elwatan.com/

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La filière agroalimentaire à la recherche de partenariats

Programme de renforcement des capacités des Pays Arabes

Avec un volume avoisinant 40% du produit intérieur brut (PIB) et 1,6 million d’emplois assurés, la branche agroalimentaire a de quoi bien se porter. Les acteurs de la filière se concertent dans le cadre du programme EnACT qui regroupe l’Algérie, l’Égypte, la Jordanie, le Maroc et la Tunisie.

En réunissant, hier, des entreprises des cinq pays membres de l’EnACT, le Centre du commerce international a ouvert le débat sur les opportunités d’échanges et de partenariats. C’est dans cet esprit que se tient le forum régional. Il offre aux entreprises activant dans le domaine de l’agroalimentaire d’explorer la possibilité d’étendre leur champ d’intervention et de se laisser tenter par de nouveaux marchés.
Le secrétaire général du ministère du Commerce, présent à cette rencontre, a rappelé que le programme EnAct de renforcement des capacités commerciales des pays arabes permettra d’examiner toutes les possibilités de partenariat rappelant qu’il était un exemple de  coopération réussi au niveau. Le Canada, qui soutient cette initiative, a, par la voix de son ambassadeur, rappelé tous les avantages qu’offre le programme en question, soulignant toutes les opportunités qui peuvent être saisies puisque le Canada a des besoins en matière de fruits et de légumes, par exemple, sachant que la production au Canada n’est possible que pendant quelques mois à cause du climat.
L’ambassadeur du Canada croit en une possibilité de l’accroissement du partenariat avec les pays de la région Mena. Depuis l’Algérie, le Canada importe déjà des eaux minérales, du sucre, des dattes et des vins et n’écarte pas la possibilité de rallonger cette liste.
Les participants au forum régional ont, quant à eux, eu deux jours pour prendre connaissance des opportunités qui s’offrent à eux à travers des discussions concrètes et pratiques notamment au sujet de la possibilité de nouer un partenariat avec la Turquie en tant que hub régional pour la promotion des exportations vers les pays d’Asie centrale. Ils ont également pris part à un atelier sur l’adaptation des produits et le marketing des produits agroalimentaires pour l’exportation vers le marché nord-américain.

 

Source : Le Soir d’Algérie

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